De Hopper à Wyeth, les peintres américains ont fait remonter la tendance croissante au réalisme dans l'art américain après la Première Guerre mondiale. En fort contraste avec les modernistes européens, les artistes américains ont fait de la nation leur thème central de leur travail - le «American way of life" avec tous ses stéréotypes régionaux et des thèmes socio-politiques. | |
Chaque film traite d’un seul bâtiment choisi pour son aspect exemplaire, pour le rôle de jalon qu’il a joué ou qu’il joue dans l’évolution de l’architecture. Le bâtiment est exploré de fond en comble, décortiqué depuis les fondations jusqu’aux couvertures. Un travail sur le terrain fait apparaître des questions pratiques et simples, et la façon dont l’architecte y a répondu.Une maquette du bâtiment, réalisée spécialement pour chaque film, permet de montrer de façon claire et ludique ce qui autrement est invisible : les étapes de la conception du bâtiment, son principe constructif, l’agencement des espaces etc... Bien plus lisibles que les plans ou les croquis, ces maquettes démontables rappellent que la véritable force de la grande architecture est d’être simple comme un jeu d’enfant. Enfin, dans les films consacrés aux réalisations d’aujourd’hui, l’architecte intervient lui-même brièvement, apportant un éclairage plus subjectif en contrepoint de l’enquête du film. | |
Avec plus de 300 millions d’arbres, l’Andalousie est le Royaume incontesté de l’olivier. C’est ici que l’on produit le plus d’huile d’olive au monde, c’est ici que la cuisine à l’aide de cet "or liquide" est la plus sophistiquée, ici encore que se trouve la principale Chaire universitaire dédiée à l’oléiculture, c’est ici que... En tout état de cause, la liste des superlatifs semble interminable. Sur la route des oliviers, et à travers la rencontre de citoyens andalous hors du commun, cette province espagnole nous révèle les secrets d’une réussite économique oléicole exemplaire. Avec Periko Ortega de Cordoue, chef andalou et défenseur de l’excellence culinaire, la cuisine à l’huile d’olive devient tout un Art. Tandis qu’avec José Gomez, scientifique de renommée mondiale, la monoculture de l’olivier dévoile les dangers qu’elle représente pour l’érosion des sols, démontrant que la réussite économique a souvent un prix. | |
1.000 Chefs-d'œuvre des grands musées du monde est une série télévisée sur l'art très réussie. Bien illustrées et présentées de façon convaincante - les auteurs de ces cinq enquêtes d'art donnent un aperçu des chefs-d'œuvre de la peinture. La peinture baroque du 17ème siècle est remarquable pour son immense splendeur et son pathos. À l'époque de la peste, des guerres de religion et des excès de la noblesse, l'art a servi les objectifs de la Contre-Réforme et de l'absolutisme. Partagé entre la joie de vivre et la douleur de la mort - grâce à de grands maîtres tels que Van Dyck, Rubens, Vélasquez, Rembrandt et le Caravage. A. Van Dyck: Samson et Dalila (c. 1628-1630 ) Peter Paul Rubens : Le Jardin d'Amour (c. 1633 ) Diego Velázquez : Les Ménines ( 1656 ) Rembrandt Harmensz. van Rijn : le retour du fils prodigue (c. 1668 ) Michelangelo Caravaggio : Le joueur de luth (c. 1595 ) | |
"Nous créons ensemble le nouveau bâtiment de l'avenir; il combinera architecture, sculpture et peinture en une seule forme." Avec cette vision, Walter Gropius a ouvert en 1919 le Bauhaus à Weimar, qui devait être l'une des plus influentes écoles d'art, de design et d'architecture, de Dessau à Chicago. Les artistes comme Kandinsky, Itten, Feiniger, Klee, Moholy-Nagy et Schlemmer, ainsi que les directeurs Gropius, Meyer et Mies van der Rohe, font du Bauhaus, l'incarnation de la réforme, de l'expérimentation et de l'avant-garde... Le film explore l'histoire fascinante de l'école et de ses protagonistes à travers des oeuvres, des documents d'archives et des interviews. | |
1000 Masterworks: Bauhaus Masters est l'une des séries les plus réussies de l'art. Ce DVD, avec une bonne qualité d'image, emmène dans un voyage fascinant à travers l'histoire de l'art. On y trouve des oeuvres de Josef Albers, Lyonel Feininger, Johannes Itten, Laszlo Moholy-Nagy et Oskar Schlemmer. | |
En Haïti, son pays, Mario Benjamin est le chef de fi le de l’art contemporain. Invité à prendre part à des manifestations majeures comme les Biennales de Venise, de Kwangju, de Sao Paulo, de Johannesburg ou encore à de nombreuses expositions aux Etats-Unis, il a acquis une stature internationale. Mais qui le connaît en dehors du petit milieu des professionnels ? Comme le marché de l’art, les médias occidentaux sont souvent ethnocentriques. Ce film nous donne à voir les oeuvres de Mario Benjamin, à la fois puissantes, magiques et dérangeantes, sa maison – installation baroque –, retrace son parcours artistique et nous introduit dans son univers intérieur. En dehors de son talent hors du commun, Mario Benjamin a la particularité d’être bipolaire. Lors de ses crises, il accède à des perceptions que certains artistes aspirent à trouver par l’usage de drogues. Autour d’une exposition qui a eu lieu à Port-au- Prince en juin 2008, cet homme charismatique nous livre ses réfl exions sur son travail et sur la diffi culté d’être artiste dans un pays du tiers-monde. | |
Bertrand-Moulin avait été, dès 1962, lauréat du concours général de dessin avant d’entrer à l’École nationale supérieure des beaux-arts de Paris. Professeur d’arts plastiques depuis 1981, titulaire de diverses distinctions, il était devenu en 2005, le président du Salon de mai, l’une des plus importantes manifestations parisiennes dans le monde de la peinture. Il avait fait l’objet d’un nombre important d’expositions personnelles et avait participé à nombre d’expositions collectives, dont plusieurs répondaient à un engagement dans la vie sociale, de même que son travail avec la galerie l’Art et la Paix à Saint-Ouen. Il avait ainsi participé en 2004 à l’exposition "Cent ans, cent peintres" à la Fête de l’Humanité en 2004, en 2005 à une exposition itinérante de l’association Femmes solidaires autour du thème « Résister, c’est créer », en 2000 à l’expo "Jésus à l’Humanité", à l’espace Niemeyer, place du Colonel-Fabien à Paris. Nombre de ses oeuvres ont été acquises par des musées, dont le musée d’Art moderne de la Ville de Paris. | |
William Kentridge explore ici l'imaginaire de l'Égypte ancienne vue par les voyageurs des siècles passés en réunissant une série de dessins récemment présentés au musée du Louvre, ainsi que des captures d'écran de ses films d'animation. Ses dessins, réalisés à même des livres ou des collages de feuilles de papier trouvées, confrontent sa géographie intérieure avec les importantes collections de vestiges conservées au Louvre : le scribe, le sphinx, le chat ou encore le mausolée trouvent ainsi écho dans les dessins d’artistes et de voyageurs – ruines, pyramides, explorateurs, transformations du chat en lion – réalisés par Carracci ou Degas en passant par Le Brun et Crapelet. | |
Sa première exposition parisienne se tient rue de Seine en 1939. La renommée accompagnera rapidement sa longue carrière de peintre, graveur et décorateur de théâtre. Les décors réalisés pour les Indes galantes, de Rameau, à l’Opéra de Paris en 1952 assoient sa célébrité publique. Il travaillera sept fois pour la scène, jusqu’en 1969. | |
Née le 1er janvier 1942 à Paris dans une famille d'artistes. Études à l' école des Beaux-Arts de Paris. Second prix de Rome de sculpture Bourse d'art monumental. Bourse de la Fondation de la vocation en 1964. Depuis 1967, Béatrice Casadesus a montré ses œuvres dans une centaine d'expositions en France et à l'étranger, (galeries et musées); Exposition "Faire le point" aux Musée de Calais et de Poitiers. 1994 Exposiions "Orients" à New York. 2002 Rétrospective à l'Institut français de Barcelone. | |
Depuis son ouverture en 1977, il abrite le célèbre Musée National d'Art Moderne, qui attire des hordes de visiteurs de partout dans le monde avec les magnifiques collections d'art moderne. Par exemple des oeuvres de Dubuffet, Giacometti, etc. | |
Frère du peintre Bernard Rancillac, Chasse-Pot fait des études classiques et artistiques. Après avoir exercé plusieurs métiers, se consacre à la sculpture depuis 1968. Avec le "papier mâché", il crée une société de personnages affublés des attributs du petit-bourgeois, clercs de notaires, soldats caricaturaux, énigmatiques. | |
Architecte hors norme depuis plus de 50 ans, il n’a jamais cessé de développer une réflexion exigeante sur les implications de son métier. Très tôt, il rejoint l’équipe de l’AUA (fondé en 1960 par Jacques Allégret), n’a jamais cessé de bâtir des logements sociaux mais aussi des édifices publics d’envergure : le Ministère de l’Économie et des Finances, ou la rénovation du Muséum d’Histoire Naturelle avec Borja Huidobro… En 2009, il présidait le Conseil Scientifique de la consultation des dix architectes pour le Grand Paris. Dans une volonté de transmission, il a enseigné et publié, au point d’être considéré comme le seul architecte intellectuel, "soucieux de faire sortir sa discipline du ghetto affairiste et professionnel, et de livrer les clés de son propre travail." (Encyclopédie Universalis 2010). Au risque de déranger parfois. À travers son portrait, le film tente de saisir la pensée et les pratiques qui préfigurent, fondent l’acte architectural. | |
Né en Chine, il arrive en France en 1955, il découvre l’art égyptien qui le passionne. Il s’installe à Paris et peint des paysages de Paris, dessine à la Grande Chaumière, visite le Louvre, les galeries et les expositions. En 1956, il découvre "de visu" l’art abstrait, notamment lors de la rétrospective Nicolas de Staël, qui constitue pour lui un événement marquant, tout comme le sera en 1969 l’exposition du tricentenaire de Rembrandt à Amsterdam. De 1956 à 1961, il rencontre ses premiers succès à Paris, et dès 1964, sa réputation se propage à l’étranger à l’occasion d’expositions au Carnegie Art Museum, à Pittsburgh, Jérusalem, Athènes, et en 1969, à la Biennale de Sao Paulo. En 1976, il renoue avec la calligraphie qu’il a pratiquée dans sa jeunesse. En 1983 ,voyage de Chu à Pékin, où il est invité par l’Union des Artistes de Chine. Le musée national d’Histoire de Taipei organise en 1987 une grande exposition rétrospective, lui permettant ainsi, pour la première fois depuis trente-deux ans qu’il a quitté son pays, de montrer l’ensemble de son œuvre. | |
Véritable immersion en photographie, cinq26 propose une série de reportages, interviews et documentaires autour de la photographie et de ses différents acteurs. Dans ce premier numéro : Profession encadreur, le chimigramme, la photographie polonaise, le laboratoire d'essais photo de la Fnac et la photographie politique avec Eric Franceschi... | |
Deuxième numéro de la revue photographique audiovisuelle cinq26. Une nouvelle série de films décalés et hors formats. Des rencontres qui donnent à voir et à entendre celles et ceux qui font la photographie, et nous font découvrir des démarches, des regards très différents... Dans ce numéro : Le tirage grand format, le cliché-verre, le Festival Européen de la Photo de Nu, Bernard Plossu et la Foire Internationale à la Photographie de Bièvres. | |
Née à Quiévy en 1935, parente d'Herbin, originaire du même lieu, sa vocation picturale naît à la lecture de le revue Art d'aujourd'hui, tribune de l'abstraction géométrique. 1958 : Première exposition personnelle à la galerie Caille à Cambrai et Galerie Hybler à Paris. 1961 : Première exposition à la galerie Denise René où elle exposera ensuite régulièrement. 1967 : Musée des beaux-arts de La Chaux de fond. Biennale de Paris. 1968 : "Art optique" au musée des Beaux-arts d'Oslo. 1972 : Centre d'art contemporain d'Alençon. 1983 : Musée des beaux-arts de Lille. 1989 : Musée Matisse, Le Cateau-Cambresis. Dans les années 1965, elle accentue le travail sur la couleur (Cercles, ADN). | |
Le Cubisme et le Futurisme sont deux mouvements artistiques majeurs qui ont révolutionné l'art au début du 20ème Siècle, et les habitudes visuelles de l'Occident. Sceptiques quant à la réalité visible de leur temps ces artistes européens ont visualisé la diversité de leur perceptionde la vie moderne. Ils ont provoqué l'attention des médias ou tout simplement joué de la musique avec des couleurs - en rendant possible ces chefs-d'œuvre de l'art moderne. | |
Comment l'art et les artistes ont-ils été l'un des fondements essentiels de la nation allemande au moment de son unification ? Comment en ont-ils ensuite permis l'affirmation et l'expression la plus éclatante ? Comment ont-ils accompagné ou rejeté en bloc ses dérives les plus noires ? Et comment ont-ils, enfin, participé à son travail de mémoire ? Du romantisme à l'expressionnisme, du Symbolisme à la Nouvelle Objectivité, de "l'art héroïque" à "l'art dégénéré", faire une histoire de l'art allemand, c'est parler de courants esthétiques fondamentaux, c'est parler d'artistes visionnaires ou révolutionnaires, c'est évoquer des villes ouvertes sur le monde et des périodes sombres et tragiques. C'est faire une histoire à la fois culturelle, sociale et politique dans laquelle les créateurs et les oeuvres ont été les acteurs incontournables des tourments et des espoirs d'une nation. | |
Ce documentaire raconte l'histoire des fameux maîtres d'oeuvre qui ont contribué à édifier l'un des joyaux de l'architecture gothique : la cathédrale de Strasbourg. Combinant enquête auprès d'historiens et de spécialistes contemporains, reconstitutions fictionnelles et images de synthèse, Le défi des bâtisseurs nous révèle les secrets de fabrication de cette prouesse architecturale, la vie des maîtres d'oeuvre, l'organisation sociale du chantier, le rayonnement européen du projet et le contexte politico-religieux dans lequel il s'est développé. | |
L'Abstraction géométrique désigne une forme d'expression artistique très souvent non figurative dans laquelle se sont illustrés plusieurs courants historiques et qui a recours à l'utilisation de formes géométriques et de couleurs disposées en aplats dans un espace bidimensionnel. L'art cinétique est un courant artistique basé sur la notion de mouvement. Les œuvres de l’art cinétique sont principalement des sculptures ou des installations avec des éléments mobiles. Les artistes montrent que l’œuvre d’art n’est pas toujours un objet ou une image figée, mais elle peut aussi être en mouvement. Ce mouvement peut être très rapide ou presque imperceptible, créé par un moteur ou par un déplacement d’air ou de lumière. | |
Concentrer un maximum d’efficacité dans un minimum d’espace (6,46 m2) : tel était le projet de l'architecte autrichienne Margaret Schütte-Lihotzky. Conçue en 1926, la "cuisine de Francfort" peut être installée tout équipée, une nouveauté pour l’époque. Inspirée des wagons-restaurants, elle réunit plusieurs fonctions domestiques. On peut y faire à manger, mais aussi repasser ; voire même déjeuner. | |
Les diamants sont éternels, en témoigne l’histoire de la pierre légendaire Koh-i-Noor de 108 carats ou encore le De Beer’s, élu diamant du XXème siècle. Synonymes de luxe et d’excellence, les diamants comme nous les connaissons sont avant tout le résultat d’un travail et d’une passion sans égale que l’on retrouve dans tous les aspects de son industrie. Depuis les mines d’Afrique du Sud, en passant par les négociants de Londres et les tailleurs d’Anvers, suivez le parcours de pierres précieuses qui n’ont jamais cessé de susciter tant l’admiration que la convoitise des hommes./h7> | |
Organisée à Cassel entre juin et octobre 1968, documenta 4 est la dernière édition à être dirigée par Arnold Bode. En écho aux tumultes politiques et sociaux de cette année charnière, documenta 4 fut un lieu de débats et de controverses artistiques, politiques, esthétiques et générationnelles, mettant notamment à jour les tensions entre les scènes européenne et américaine. Le film rend compte de cette effervescence et donne la parole aux artistes, aux curateurs et au public, tout en offrant une vision inédite de la fabrique d'une telle exposition. Nous pouvons ainsi suivre Sol LeWitt élaborer Three-Part Variations, Joseph Beuys installer Raumplastik, Martial Raysse débattre du rôle de l'artiste, Harald Szeemann défendre le concept de musée, ou Edward Kienholz expliquer Roxys, assis dans l'un des canapés de son installation. | |
Vous avez dit : bohème ! Mais de quoi s’agit-il ? Des bohémiens ou des artistes qui les admirent, les imitent ? Des uns et des autres, qui parfois se mêlent. Aussitôt que le mot bohème surgit les images foisonnent, les clichés se bousculent. Le film nous entraîne dans un parcours virevoltant entre hier et aujourd’hui, peinture et cinéma, opéra et art divinatoire, histoire et poésie. En pointant mythes et réalités de la "vie de bohème" et du statut de bohémien, il en découvre les couleurs et la diversité. | |
A travers la réalisation par Anny Tresch de toute une palette de vêtements relevant de difficultés variées permettant de traîter l'ensemble des problèmes auxquels vous pourriez être confrontés, ce film vous montre pas à pas comment réaliser vous-même vos vêtements. Il s'adresse autant à des débutantes qui y découvriront les bases de la couture qu'aux couturières averties pour perfectionner leur art. Choix du modèle et du tissu, utilisation d'un patron, montage d'un vêtement, report d'un patron, adaptation d'un patron aux mesures personnelles, coupe, entoilage, exécution de poches, fentes, montage de cols, poignets, manches, fermetures à glissières visibles et invisibles, ourlets, boutonnières, travail de matières délicates etc... Tout est dans ce DVD, le reste est en vous ! 1h55 de film + Bonus : l'utilisation des 10 pieds-de-biche les plus courants (anti-adhérent, fronceur...). | |
Ce film raconte l'histoire de Christian, Joseph, David et Djamel, quatre street artists qui vivent sans concession, l'énergie chevillée au corps. Leurs œuvres en construction sur les murs de Paris et de la banlieue n'ont rien à voir avec les tags et les marquages de territoire, mais avec l'art et la création. A coup de bombes, de collages ou d'effacement, chacun questionne la ville à sa façon avec son style propre et son univers, bousculant notre quotidien. Leurs peintures et leurs personnalités ne laissent pas indifférents. | |
L'univers de Féraud, filmé et présenté dans cette vidéo, est à la fois dans l'atelier envahi de lourdes machines d'industrie et à l'extérieur où l'artiste puise dans son gisement de pièces métalliques des toutes origines. | |
Après avoir travailler comme apprenti dessinateur, puis métallurgiste, André Fougeron commence la peinture en autodidacte. Dans les années 30, il réalise une peinture réaliste et figurative. Il affirme que "l'histoire des hommes faisant l'Histoire m'intéresse davantage que l'histoire de la parure et des ornements". En 1937, pendant la guerre d'Espagne, il exprime par sa peinture son soutien aux républicains. Membre du parti communiste, il intégre le groupe des Indélicats et entre dans la résistance en 1940. Après la guerre, André Fougeron devient secrétaire général de l'Union des arts plastiques. Il devient l'un des membre du Réalisme socialiste et illustre dans son travail sa vision de la vie quotidienne et des préoccupations sociales. Dans les années 70, André Fougeron crée des tableaux en référence à Courbet. Dans les années 80, il réalise une série critique sur la Foire de l'art. | |
FRANTA œuvre pour rappeler le devoir et le sens de la révolte, pour dire aussi la jubilation de vivre, la joie, possibles. Depuis le style qualifié de « néoréaliste expressionniste » de ses débuts, FRANTA n’a cessé d’avancer, de progresser dans son art d’une manière personnelle. C’est un plasticien dont les œuvres peuvent se passer de discours. Il suffit de les voir. L’évolution créatrice de FRANTA parle d’elle-même, visuellement. Elle peut se découvrir en suivant la chronologie des peintures et des sculptures qu’il a faites sans se soucier des modes. Attentif à la condition humaine, il poursuit son œuvre, à soixante dix sept ans, dans l’exigence artistique. Sa peinture marquée d’un profond désir d’aimer et de faire aimer, rend l’œil et le cœur qui la rencontrent, sensibles à la morsure de la beauté. | |
Né en 1926 en Espagne, décédé le 22 Novembre 2008 à Paris. Il fait des séjours à Ibiza, aux Baléares où il peint le monde des pêcheurs et des paysans. Il s'intéresse à l'art roman, à Zurbaran, Rembrandt, Goya, Nonell. Il Arrive à Paris en 1953 avec une bourse de l'Etat français. Découvre Van Gogh et Picasso. Il s'installe définitivement à Paris en 1954, dans son premier atelier parisien, en face du Bateau-Lavoir. Voyage et peint en Hollande, en Allemagne et en Ecosse. Raymond Suillerot organise sa première exposition à Paris en 1955. Désormais, Guansé exposera régulièrement dans sa galerie. Premières lithographies et gravures. 1959 Recherche d'un nouveau langage plastique qui s'apparente à ce que l'on nommera plus tard "nouvelle figuration". | |
Ce DVD offre une belle sélection des grandes œuvres de la collection Peggy Guggenheim de Venise, en explorant un aperçu historique et artistique, l'histoire du musée et de ses collections, avec des œuvres allant du cubisme, à l'abstrait, et au surréalisme et plus encore. | |
Ses illustrations de scènes de vie alsacienne, d’apparence innocentes, cachent en réalité une réelle aversion pour les Allemands et feront de lui un caricaturiste très controversé. Il utilise le pseudonyme Hansi pour signer ses dessins (« Hans » pour Jean suivi de « i » pour « Iakob » qui signifie "Jacques"). Hansi, entre création et provocation n’est pas une simple biographie, l’objectif des deux auteurs était « de travailler sur l’identité régionale. Qu’est-ce qu’être Alsacien aujourd’hui dans un espace rhénan, sans frontière ? Je trouvais intéressant, justement, de faire faire le film par un de ces Allemands critiqués autrefois par Hansi » explique Christian Monzinger. | |
Peintre, graphiste, photographe, scénographe, écrivain - David Hockney est l'un des artistes les plus polyvalents et significatifs de notre époque. La Percée internationale de l'artiste britannique date du milieu des années 60 avec ses scènes et des peintures de piscines californiennes soleil mouchetée douche homoérotiques. Dans des travaux ultérieurs, l'artiste lui-même révélé être un fin observateur et expérimentateur passionné. | |
Ce film documentaire va bien au-delà de la présentation d’un architecte génial et de son oeuvre. Le viaduc le plus haut du monde, celui de Millau, l’aéroport de Pékin, le Reichstag de Berlin, et tant d’autres bâtiments prestigieux suffisaient pourtant déjà à montrer l’importance de cet architecte majeur. Mais c’est l’ascension de cet homme hors du commun, venu d’une famille modeste de Manchester, passionné de ski de fond aussi bien que de vol à voile, habité par l’architecture et son devenir au point d’avoir créé Foster + Partners’, l’agence mondiale d’architectes et d’urbanistes sans doute la plus innovante du monde. Plusieurs centaines de jeunes architectes qui tentent de bâtir les villes de demain pour une humanité devenue essentiellement urbaine. Et ceci, suivant la logique du "less is more", en intégrant l’architecture dans un contexte qui ne veut plus ignorer les dégâts que les bâtiments infligent au milieu naturel. Donc, réduire la consommation d'énergie, l'utilisation de combustibles non renouvelables et la pollution. Une architecture de développement durable. | |
Deux ans après l'exposition Pasteur'Spirit, l'Institut Pasteur accueille à nouveau Fabrice Hyber sur son campus avec une œuvre pérenne intitulée Sans gêne, offerte par l'artiste et réalisée au sein d'un nouveau bâtiment dédié aux maladies émergentes. Cette œuvre spectaculaire, à la fois conçue comme une fresque en hommage à l'inventivité de la recherche biomédicale qui anime l'Institut et une vitrine des liens possibles entre créativité artistique et découverte scientifique, a été réalisée avec la complicité de Sèvres – Cité de la Céramique. Ce livre-DVD associe le film de Gilles Coudert et une publication qui nous livrent en images le processus d'élaboration de l'œuvre et donnent ses enjeux à travers la parole de l'artiste, celle des chercheurs et acteurs du projet. | |
Cet épisode est le second tome consacré à Ingres. En explorant de part en part les plus somptueux portraits du 19ème siècle que l'artiste nous a laissés, sans oublier ses dessins voluptueusement pointillés, il s'agira de montrer qu'un des peintres les plus réactionnaires de son temps n'a rien d'académique mais qu'il a jeté les bases d'une esthétique de la photogénie contemporaine, selon cette course aux définitions plus hautes de l'image, telle que nous la vivons aujourd'hui. | |
Homme de passion et de rectitude, Kijno n'a cessé de renouveler et d'enrichir, depuis le début des années cinquante, les sources de sa puissance picturale et poétique, tout en s'affirmant d'emblée en marge de l'abstraction et de la figuration dominantes, étranger à leur opposition normative. Cette capacité de ressourcement, cette obstination à se frayer un chemin dans des terres non identifiées et jusqu'aux confins de l'expérience de l'imagination humaine, ne relèvent pas seulement de la personnalité et de l'originalité d'un langage, qui maîtrise pleinement l'outillage technique et esthétique qu'il a approprié, voire inventé à ses fins. IL s'agit là, exemple rarissime dans ces vingt dernières années de consensus et de récupération, d'un vrai rebelle, en révolution dans sa propre révolution, contre tous les pouvoirs, y compris ceux des avant-gardes, désormais classiques et contrôlées..." | |
Née en 1957 à Taegu, Corée du sud, Kimsooja vit et travaille à New York, Paris et Séoul. La renommée de son travail – installation, performance, vidéo, photographie – est internationale. Artiste nomade ayant fait de l'exil et du voyage le nœud de son travail, Kimsooja développe une réflexion sur le thème du déplacement de soi et des autres. Son œuvre, ouverte à différentes lectures (minimalisme, nomadisme, féminisme, bouddhisme, art politique...), transcende les cultures, les géographies et même le temps en reliant des éléments et des états apparemment irréconciliables de la condition humaine : nature et culture, tradition asiatique et modernité occidentale, mouvement et immobilité, action et contemplation, individualité et multitude, affirmation et effacement de soi, dans une démarche qui relève moins du jeu dialectique que de la recherche d'un état d'équilibre délicat, à travers la conscience de l'artiste, à la fois auteur, sujet et instrument de l'expérience du monde. | |
Le Cloarec est un des héritiers de ces travaux merveilleux de libération, inspiré qu'il est par un élan vital avec lequel se fonde la compréhension poétique de l'Univers, où seules les formes et les couleurs donnent un sens au spirituel comme l'entendait Kandinsky. La dynamique explosante d'un "big bang" pictural, fait sentir la présence d'un espace débarrassé de ses poussières archaïques. Le futur existe. Le Cloarec l'exprime. | |
Jean Le Moal a développé une peinture dans laquelle les variations de la lumière, en ruissellements chatoyants s'imposent comme son principal thème. A partir de 1956, l'art monumental occupe une place prépondérante et notamment le vitrail pour lequel de nombreuses réalisations imposantes sont visibles en France. De 1978 à 1988 Jean Le Moal réalise les vitraux de la cathédrale de Nantes (500m²).De 1985 à 1987 Jean Le Moal travaille aux vitraux de la cathédrale de Saint-Dié-des-Vosges, en compagnie notamment de Manessier, Bazaine et Elvire Jan. | |
Ce documentaire est consacré à la vie et à l'œuvre de l'artiste américain Roy Lichtenstein | |
Composée de plus de deux cents chefs-d'œuvre provenant de tous les départements du Louvre, la Galerie du temps est le cœur du nouveau musée Louvre-Lens. C'est le seul endroit au monde où l'on peut voir, réuni en un seul espace, un véritable fleuve d'œuvres constituant à la fois un merveilleux livre de connaissances et de découvertes, mais aussi une succession d'émerveillements. Présentées dans un esprit de transversalité et sous forme chronologique, les œuvres racontent l'histoire de l'humanité du IVe millénaire avant Jésus-Christ au XIXe siècle européen en passant par l'Égypte, la Grèce et Rome, sans oublier le monde islamique. Des pièces archéologiques côtoient sculptures, peintures et objets d'art, comme autant de miroirs que les hommes ont tendus vers leurs dieux ou vers leur propre visage. Ce film est une invitation à découvrir ce "Louvre autrement", à travers le récit de l'aventure artistique des hommes que met en scène la Galerie du temps. | |
Les mains pour le dire est une série de courts portraits d'artistes (peintres, photographes, sculpteurs...). Tandis qu'il nous est donné à voir la réalisation complète d'une œuvre de l'artiste, celui-ci s'exprime en voix-off, effectuant une véritable introspection sur son art. Le temps très court qui lui est imparti (10 minutes) le mène à dégager le noyau fondamental qui anime son œuvre, sa raison d'être artiste, les forces conscientes ou inconscientes qui l'habitent et le guident à la création. N°1 Portrait du peintre Harouna Ouédra Ogo (2007 - 9 mn). N°2 Portrait du peintre Pierre Pentchev ; Sarah Cubas (2009 - 14 mn). | |
Interview de l’artiste dans son atelier à propos de son œuvre et de son parcours. Présentation de la technique à l’œuf . Evocation de son travail de créateur de costumes et de maques pour le théâtre Louis Jouvet, etc. Plans de coupe avec des œuvres de toutes les périodes et des documents d’archives de l’artiste. | |
Maîtres d'art allemand est une série de programmes d'environ dix minutes analysant certains des plus grands noms de l'histoire de la peinture allemande. De Caspar David Friedrich à Lucas Cranach, de Johann Tischbein à la Kollwitz - synthèse des mini-portraits offrent un aperçu du caractère unique de l'œuvre de chaque artiste et à la compréhension du contexte dans lequel il a été créé. | |
Participant actif au salon de la Jeune peinture dans les années soixante-dix, Ivan Messac dessine les affiches de ce salon en 1973 et 1974. Plus jeune que l’ensemble des artistes de la Figuration narrative, il est associé à ce mouvement et expose notamment en 1977 à Mythologies quotidiennes 2 au Musée d’art moderne de la Ville de Paris. Par ailleurs, il réalise de nombreux décors et costumes. Après ce passage à la peinture, c’est la sculpture qui devient son moyen privilégié de recherche. Travaillant à Carrare, il creuse son sillon personnel. Ses premières sculptures datent de 1983. | |
Le MoMA à New York est un grand Musée pour les amateurs d'art moderne et contemporain. Les collectionneurs Abby Rockefeller, Lillie Bliss et Mary Sullivan ont jeté les bases pour ce musée, qui a ouvert ses portes sous la direction d'Alfred Barr le 7 novembre 1929. | |
La Nationalegalerie a été fondée en 1861, grâce à la donation de deux cent soixante-deux tableaux du banquier Johann Heinrich Wagener. La collection a d'abord été présentée à l'Académie des arts de Berlin. Aujourd'hui distribué à différents endroits, c'est l'une des collections les plus prestigieuses et les plus diversifiées au monde de l'art des 19ème, 20ème et 21ème siècle. Avec chefs-d'œuvre de Höch, Dix, Spitzweg, par Menzel et Schinkel, le DVD avant cinq des plus populaires des trésors d'art de Berlin. | |
La peinture de Camille Niogret exprime le Temps, le mouvement de la vie de la matière lorsqu’elle rejoint l’esprit. Cette œuvre nous interroge sur l’état de notre pensée, face aux profondes mutations qui nous guettent... Nous avons réuni, une fois encore, la poésie de Marie Bertone inspirée par ses lectures de Nicolas de Cuze, de René Guénon et de Me Eckhart, aux peintures à l’huile et or sur toile de son compagnon Camille Niogret. | |
Marta Pan ne conçoit que des sculptures abstraites, aux lignes pures et élégantes, aux formes proches de la géométrie, cherchant par la sobriété à atteindre l’harmonie et l’essence : « Tout résumer dans une forme de plus en plus simple » dit l’artiste. Pour elle, la sculpture ne saurait être un élément décoratif. Que ce soit en milieu naturel ou urbain, la sculpture doit établir un rapport avec le site, modifier notre perception de l’espace : « On ne pose pas impunément une sculpture dans un espace, que cet espace soit naturel ou construit. Par sa présence même, la sculpture transforme l’espace » écrit Marta Pan. | |
Ce film de quarante minutes en noir et blanc propose de découvrir le travail du fameux graveur parisien, à travers la réalisation d’une estampe intitulée Atelier René Tazé n°VII. Cet atelier du Xe arrondissement où Erik Desmazières a tiré une grande partie de son œuvre est promis à une destruction prochaine. L’artiste a choisi d’y réaliser une dernière gravure, "comme pour arrêter le temps". Du dessin préparatoire au dernier état, nous assistons à la naissance d’une œuvre : eau-forte et aquatinte, jusqu’à la révélation finale en couleurs de cette image par laquelle le graveur s’approprie le génie d’un lieu. | |
En 1946, Picasso retrouve la Méditerranée avec Françoise Gilot, sa compagne. Pendant deux mois et demi, à la fin de l’été, Picasso travaille dans une salle du château Grimaldi à Antibes. Michel Sima, sculpteur et photographe lui a trouvé cet atelier et à la demande du peintre, il photographie jour après jour le travail en cours et la vie quotidienne. Un vent de liberté souffle sur les œuvres de Picasso autant que sur l’œuvre photographique de Sima. Avec rien comme matériaux pour peindre ou photographier, cette aventure humaine va transformer l’espace du château Grimaldi en atelier puis en musée ouvert aux regards de tous. Le conservateur d’aujourd’hui en réaménageant le musée, fait le lien entre les photos, la peinture et les témoignages de Françoise Gilot et Sima. Par des allers-retours entre la plage et l’atelier, par des correspondances entre le lieu et les œuvres, on vit à la fois le temps d’aujourd’hui et le temps arrêté par Sima. On découvre la création à l’œuvre, la joie de vivre retrouvée. | |
Sa peinture, à la recherche d’un équilibre entre gestuelle et rigueur géométrique, trouva dans le cercle un moyen de jouer et confronter les couleurs vives, franches qu’il affectionnait. Au bout du compte, dans les trente dernières années de sa vie, James Pichette développa une peinture alliant la virtuosité de la peinture gestuelle à la rigueur du tracé hérité de l’abstraction géométrique. Avec, en permanence, un entrain joyeux et rieur, James Pichette se jouait des catégories et trouvait un malin à plaisir à ne pas se laisser enfermer dans l'une ou l'autre. | |
A ses début Poli peignait au pistolet sur des toiles cirées tendues. Après 1968, le retour à la peinture impliquant la mai engage des périodes ou séries de toiles. 1974: l'outillage industriel. Vient ensuite, la série des insectes, puis le modèle de l'architecture baroque européenne dont il ne retiendra que les détails. 1976 Professeur à l'Ecole des Beaux-arts de Rouen. 1985-1986: il passe à l'abstraction. | |
Pendant la Renaissance, la peinture de portrait est devenu l'un des genres les plus prestigieux et les plus populaires de l'art. Le remplacement de la vision du monde centrée sur Dieu et la pensée humaniste avait changé radicalement l'image de l'homme. Portraits de maître par des artistes tels que : Raphaël, Vinci, Dürer ont représenté la confiance nouvellement acquise des gens de la Renaissance. | |
"Ma peinture est un discours silencieux, sans mots. Les descriptions ne tiennent pas compte de la tendresse et de l'amour que je porte à mes personnages dans mon travail. Ces corps nus que je peins, je les caresse et je les travaille jusqu'au moment où je suis moi-même fasciné par leur présence sur la toile, présence que toute la beauté de la peinture doit concourir à porter à son maximum d'efficacité. Et j'ai conscience qu'il y a derrière ma démarche d'aujourd'hui, derrière cette fascination du corps nu, vingt siècles - et bien plus - de peinture surtout religieuse - vingt siècles de Christ morts, de martyrs torturés, de révolutions sanglantes, de massacres, de rêves brisés, et que c'est bien dans le corps, dans la chair, que finalement s'écrit l'histoire des hommes, et peut-être même l'histoire de l' Art." Jean Rustin | |
Une visite unique et très détaillée de la Sainte Chapelle, reliquaire de la couronne du Christ et chef d'oeuvre de Saint Louis. Un documentaire en 2 parties. La première s'attache à l'aspect architectural tandis que la seconde reprend et explique en détail près d'une centaine des plus beaux vitraux de la chapelle. A l'origine, la Sainte Chapelle voulue par Saint Louis n'a qu'une raison d'être : abriter la couronne d'épines du Christ. En 1239 le roi l'avait achetée à l'empereur de Constantinople pour une somme exorbitante : plus de la moitié des revenues annuels du domaine royale. L'édifice est donc un immense reliquaire qui devait abriter l'une des reliques les plus prestigieuses de toute la chrétienté. La démarche de Louis IX répond à un double objectif à la fois politique et religieux ; En pleine préparation de sa première croisade, Saint Louis veut faire de Paris le centre de la chrétienté. | |
Il a incarné l'esprit individualiste et anarchiste du mouvement Dada, dont il fut l'un des principaux animateurs de Hanovre. En parallèle à Dada, il a créé un mouvement qu'il a appelé « Merz ». Il a exercé une influence importante sur les néo-dada américains, Robert Rauschenberg en particulier, qui lui a emprunté l'idée de ses « combine-paintings » et ses collages. | |
Peintre français, pionnier de la technique de chromo-luminarisme, ou peinture optique, appelée plus couramment pointillisme ou divisionnisme. Peintre de genre, figures, portraits, paysages animés, paysages, peintre à la gouache, dessinateur proche du mouvement libertaire. | |
Quand, à 59 ans, Pierre Assouline a voulu s'essayer à la réalisation, c'est tout naturellement qu'il a pensé à son ami, décédé en 2004. « Dès que vous avez un petit nom d'auteur, les producteurs vous demandent si vous n'avez pas un projet de film. A chaque fois, je répondais que je songeais à un documentaire autour du siècle de Cartier-Bresson. Un film dans lequel on ne verrait que ce qu'il a vu et dans lequel on n'entendrait que lui — mis à part la musique de Jean-Sébastien Bach, qu'il plaçait au-dessus des autres. » Le caractère tranché de son projet effraya plus d'un producteur, mais pas Fabienne Servan-Schreiber, ni Martine Saada (à Arte), à qui l'on doit l'existence de cette oeuvre originale et forte, magnifiquement servie par le montage de Michèle Hollander. | |
Figure emblématique de l’art optique tel qu’il s’est constitué à la fin des années 50 à partir des phénomènes de vibrations chromatiques et de la répétition de figures géométriques, Jesus Rafael Soto est originaire du Vénézuela. Venu à Paris en 1950, il a participé à de nombreuses manifestations autour du movement réel ou virtuel dont l’importante exposition Le Mouvement en 1955. Très vite, il s’intéresse à des problèmes d’espaces et réalise des structures réagissant aux déplacements du spectateur. Les Vibrations Immatérielles, les Pénétrables, les Environnements Cinétiques par leurs dimensions spectaculaires produisent des effets optiques surprenants en donnant des preuves évidentes de la relativité de la vision. | |
C'est un peintre et graveur français associé depuis la fin des années 1940 à l'art abstrait. Il est particulièrement connu pour son usage des reflets de la couleur « noir », qu'il appelle noir-lumière ou outre-noir. Ayant réalisé plus de 1 500 tableaux qu'il intitule tous du mot « Peinture » suivi de leur format, il est un des principaux représentants de la peinture informelle. | |
Depuis les premières empreintes de pneus des années 1960, la peinture de Peter Stämpfli a évolué vers l'approfondissement du détail jusqu'à l'aboutissement d'une œuvre proche de l'abstraction géométrique. Arrivé au point ultime de cette recherche, l'artiste a trouvé dans les années récentes, avec la sculpture, un champ nouveau pour poursuivre la recherche tracée dans le sillon ouvert quarante ans plus tôt avec l'empreinte d'un pneu.. | |
Pochoirs, graffs, posters, stickers, installations : le street art se déploie sur les murs, les portes, les trottoirs ou le mobilier urbain. Il fait désormais partie du paysage des métropoles du monde entier. Cet art provocateur force à regarder de plus près un environnement sous domination commerciale, dont il détourne les codes. Mais les oeuvres sont de plus en plus éphémères, exposées à la destruction par l'autorité publique et à la convoitise des amateurs ou des spéculateurs. Car aussi rebelle soit-il, le street art n'échappe pas tout à fait à la commercialisation et à la starisation. Le pochoiriste parisien Blek le Rat, l'une des figures les plus anciennes et les plus influentes de l'art de la rue, en fait ici la preuve en nous entraînant à New York, où il prépare sa prochaine exposition. La New-Yorkaise Swoon s'est installée quant à elle à Berlin, où travaille aussi Brad Downey, originaire du Kentucky. À l'opposé de la capitale allemande, paradis absolu des artistes de rue, Moscou a une politique particulièrement répressive : la durée de vie de bon nombre d'oeuvres ne dépasse pas une ou deux heures, explique l'artiste Igor P., qui présente la scène street art restreinte mais très active de la métropole russe. | |
Ce DVD offre une belle sélection en haute définition des grandes œuvres du mouvement surréaliste des années 1920, l'exploration et de connaissances historiques et artistiques, les œuvres de personnalités comme André Breton, Miro, Tanguy, et plus encore. | |
Ces cinq études fournissent un aperçu plus profond des auteurs de renom dans les chefs-d'œuvre de la peinture - Globalement illustrés et présentés de façon convaincante. Le symbolisme est une réaction au naturalisme. Les symboles permettent d'atteindre la réalité supérieure de la sensibilité et inspirent l'imagination poétique. L'Art Nouveau est né en réaction contre les dérives de l’industrialisation à outrance et la reproduction sclérosante des grands styles, c'est un mouvement soudain, rapide, qui connaîtra un développement international concomitant. | |
La Tapisserie de Bayeux, inscrite au registre Mémoire du monde par l'UNESCO, est un trésor unique, un témoin précieux de la conquête de l'Angleterre par Guillaume le Conquérant et de son époque. La voici enfin présentée en film animée ! Après presque mille ans, l'art ancestral de la broderie rencontre l'art contemporain de l'animation. | |
Ce DVD offre une belle sélectionen haute définition des grandes œuvres de l'Art Institute of Chicago, l'exploration et de connaissances historiques et artistiques, l'histoire du musée et de ses collections, avec des œuvres d'artistes comme Mary Cassatt, Grant Wood, Robert Delaunay, Edward Hopper, et plus encore. | |
John Mallord William Turner est considéré par beaucoup comme le meilleur peintre de Grande-Bretagne. Cette vidéo est un hommage rétrospectif au grand artiste. Ce documentaire explore comment un siècle après la mort de Joseph Mallord William Turner, son désir de mourir est finalement venu à être quand un musée spécialisé spécialisée dans l'affichage de son propre travail enfin ouvert. | |
Le portrait d’un personnage fascinant, figure hors du commun qui n’a eu de cesse de bousculer les conventions sociales à travers son œuvre. Le film retrace le parcours chaotique, baroque et tumultueux de l'un des plus grands illustrateurs contemporains. Illustrateur de presse, de livres pour enfants, de publicités commerciales et de posters militants, en tout domaine l’inventivité foisonnante de Tomi Ungerer s'est imposée... | |
Actif dans la cité hollandaise de Delft rattachée à la Maison d’Orange, Vermeer semble avoir acquis en son temps une réputation d’artiste novateur, et avoir bénéficié de la protection de riches commanditaires. Mais une notoriété qui s'est essentiellement cantonnée aux limites du territoire provincial qui était le sien, une production de faible ampleur, évaluée à quarante-cinq tableaux maximum en vingt ans, ainsi qu'une biographie longtemps restée obscure — d'où son surnom de « Sphinx de Delft » —, peuvent expliquer pourquoi le peintre tombe dans l'oubli après sa mort — si ce n'est auprès des collectionneurs éclairés. | |
Découvrez le cycle de trois pièces chorégraphiques «Körper Trilogie» de Sasha Waltz : KÖRPER - S - NOBODY En 1999 Sasha Waltz a commencé à travailler sur son cycle chorégraphique autour du thème du corps qui lui value la reconnaissance international. Dans «KÖRPER» suite à ces recherches extraordinaires, elle examine l'anatomie et l'apparence physique de l'être humain, rapprochant les corps de ses danseurs à l'architecture, la science et l'histoire. Dans «S», elle cherche l'origine de vie, d'Éros et de la sensibilité. Et dans "Nobody" elle parle de l'existence métaphysique de l'humanité. NOBODY a été présenté dans la cour du Palais de Papes lors du Festival d'Avignon de 2002. | |
"L'Impressionnisme est féminin." Nous comprenons cette maxime lorsque pense à Berthe Morisot, Mary Cassatt, Eva Gonzales, et Marie Bracquemond, quatre artistes femmes remarquables qui ont développé des sujets et des styles impressionnistes distincts. Les quatre se connaissaient, étaient présentes dans les milieux de l'art contemporain de Paris, et, surtout, ont partagé un destin commun: des femmes de talent dans un monde dominé par les hommes. Ce documentaire raconte l'histoire de ces quatre femmes et de leurs œuvres, leur mise dans le contexte de l'esthétique, des considérations historiques et sociales qui ont façonné leur vie et leur travail. | |
" L'oeuvre de Constantin Xénakis fait partie de ce grand domaine de l'art contemporain qui a pour élément de base le signe scriptural. C'est l'un des plus indiscutables apports de la modernité que d'avoir su le mettre en oeuvre dans sa spécificité reconnue. Sans doute a-t-il fallu pour cela la réunion et le concours de différents facteurs historiques et culturels : l'extension exponentielle de l'imprimé et de la communication visuelle ; le développement des analyses linguistiques ; l'apprentissage de l'appréciation esthétique des calligraphies orientales et extrême-orientales ; les travaux poético - plastiques sur le langage : Mallarmé, Carroll, Apollinaire, les Futuristes, Dadaïstes, Constructivistes et autres ; l'apparition de nouveaux systèmes de notation en tous domaines, de la musique à l'informatique ; et enfin, et surtout, la montée de la non figuration en peinture. " |
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