Prolongeant le travail vidéo entamé en 2002 aux Etats-Unis , Aeneas Wilder est allé planté son étendard en un point central de la France défini à partir d'une analyse méthodique de cartes d'état-major. Une vidéo garde en mémoire l'événement de son périple jusqu'à un site proche de Gannat (Allier). Universel, son étendard est appelé à trouver sa place en chaque point du globe, mais avec malice Aeneas WILDER se plaît à le placer là où devrait flotter- plus qu'ailleurs- le drapeau national : impossible de contester la légitimité de son intervention, sans renier notre appartenance au monde ! Aeneas Wilder souhaite nous rappeler la réalité de l'espace et du territoire qui nous entoure, bien au delà des frontières dessinées par les gouvernements. La création de prototypes de "boîtes d'allumettes" participe à la même réflexion. En résidence à Monflanquin, Aeneas Wilder a conçu des boîtes d'allumettes munies de grattoirs-drapeaux réalisés à l'aide de poudres soufrées colorées. L'utilisation de ces grattoirs-drapeaux induit leur embrasement en même temps que celui de l'allumette et donc leur destruction immédiate. L'écart entre la portée symbolique du geste et sa réalité physique, constitue le cœur du travail plastique d'Aeneas WILDER qui sait poser des questions de "citoyenneté" au delà des clivages politiques partisans ou d'une actualité immédiate. | |
Le Musée de Picardie, construit sur plusieurs générations, est un véritable bijou de l'architecture du 19e siècle qui vaut le détour.Le projet de construction du "Musée Napoléon" à Amiens a été lancé par la Société des antiquaires de Picardie. Le bâtiment devait à la fois affirmer l'importance de la ville et accueillir les oeuvres issues des collections des commanditaires. Musée ou Palais ? C'est à cette question que les architectes successifs du "petit Louvre" étaient confrontés. | |
Cette série part à la découverte de logements d'exception, véritables chefs-d'oeuvre de l'architecture moderne et contemporaine à Paris. Chacun des quatre épisodes d'"Architecture à domicile" se concentre sur un quartier de Paris ou de sa proche banlieue, et présente le courant architectural qui a marqué son identité. L'Architecture industrielle du 11ème à Paris : Dans ce film de 26 minutes, nous partirons à la découverte de l'architecture industrielle du 11e arrondissement de Paris, dont l'évolution a suivi, au fil du temps, celle des matériaux et des techniques de construction. En nous intéressant aux édifices industriels du 11e arrondissement, nous nous pencherons sur une architecture spécifique, mais également sur l'histoire d'un quartier ouvrier et la mémoire du travail. Nous montrerons que le patrimoine industriel a marqué le 11e mais que cette empreinte n'est en rien figée et muséifiée : elle vit au travers des artisans qui œuvrent toujours dans le quartier et des habitants qui ont eu à cœur de transformer d'anciens lieux de travail en lieux d'habitation en conservant le caractère industriel du site. | |
Film en étroite relation avec l'exposition : L'impressionnisme et la mode qui se tiendra au Musée d'Orsay à partir du 25 septembre. A partir de tableaux emblématiques, le film explore des thématiques inédites telles que la révolution de la mode masculine ou encore les nouveaux accessoires de séduction. Un regard nouveau est porté sur les sujets qui ont joué un grand rôle dans la révolution impressionniste : la relation du peintre à son modèle, le croisement des arts entre peinture et littérature, l'influence de la photographie et de la gravure de mode dans la composition des tableaux, sujets qui ont joué un si grand rôle dans la révolution impressionniste, sont également au programme. Avec la participation de : Philippe Thiébaut (conservateur général au musée d'Orsay) ; Florence Müller (historienne de la mode) ; Karl Lagerfield (couturier, styliste) ; Guy Cogeval (Président du musée d'Orsay) ; Véronique Belloir (conservatrice Mode et Textile, Les Arts décoratifs de Paris) ; Philippe Coma (Professeur à l'Ecole nationale des Beaux-Arts de Paris) ; Marie Mercié (chapelière) ; Scott Schuman (photographe de mode). | |
Coffret avec livre en français/anglais/allemand/ et DVD du spectacle. "La mémoire a conservé peu de choses de ce spectacle, sinon la certitude de quelque chose de capital, quelque chose qu'on se doit de dire, et qui là est dit, une fois pour toutes, mieux que jamais, et si raidement, si purement, qu'on en tremble, qu'on en a la parole coupée, et qu'on sort le coeur blessé et pansé, baigné d'une effluve de larmes." Hervé Guibert. Cet enregistrement de Café Müller a été réalisé en 1985 avec Pina Bausch qui en outre a supervisé toute la production du film. Un document historique. | |
Kontakthof est une succession de petites scènes sans lien apparent, mais reliées indirectement par le thème de la pièce : l’histoire d’un contact, du lien que peut créer une rencontre. Ce sont des hommes et des femmes et tout ce que représente l’union de ces deux sexes (séduction, violence, attirance, manipulation, sexualité, etc.). Ils marchent, ils courent, ils dansent, et se touchent. La pièce débute sur une ligne de danseurs située en fond de scène. Une des interprètes s’avance vers le public afin de se montrer sous toutes les coutures (d’abord les mains, puis les cheveux, etc.), ensuite imitée par les autres. Les corps sont exposés, ils semblent n’être qu’une simple marchandise donnée au spectateur. Le danseur se vend, met en avant ses qualités et ses défauts. Pina Bausch avait précisé que cette scène avait été faite en souvenir de ses années de jeune danseuse, lorsque, durant des concours notamment, les danseurs devaient se présenter à leur jury sous toutes leurs coutures : de profil, de dos... afin d'être jugés sur leur physique. Sur une succession de tableaux, la femme se perd sous l’influence masculine oppressante. Le spectacle s’achève sur une « ronde à la Pina », où chaque danseur effectue une suite de petits gestes tirés de la vie quotidienne, mettant en évidence la gêne ou la séduction. Ces gestes intimes liés au contact et aux relations homme/femme, sont médiatisés par Pina Bausch, qui les place dans le contexte d'un bal. | |
Depuis sa fondation, en 1995, l’école européenne supérieure de l’image pratique tous les enseignements autour du numérique et des nouvelles narrativités avec une pédagogie autour de sujets de recherche et de projets artistiques. École unique sur cette spécialisation, l’E.E.S.I. est présente en France, sur deux sites, Angoulême et Poitiers, et propose des études complètes, allant du dessin à la programmation : un Master en Bande Dessinée (Angoulême), un Master en Arts et Sciences (Poitiers). | |
Depuis sa fondation, en 1995, l’école européenne supérieure de l’image pratique tous les enseignements autour du numérique et des nouvelles narrativités avec une pédagogie autour de sujets de recherche et de projets artistiques. École unique sur cette spécialisation, l’E.E.S.I. est présente en France, sur deux sites, Angoulême et Poitiers, et propose des études complètes, allant du dessin à la programmation : un Master en Bande Dessinée (Angoulême), un Master en Arts et Sciences (Poitiers). | |
Voyage au pays du Soleil Levant, à la découverte d'une culture millénaire et fascinante, celle du tatouage. Ce voyage au Japon nous mènera au cœur de cet art ancestral. Le tatouage japonais est une parabole culturelle d'un pays où la patience et la minutie sont des vertus essentielles. C'est ce monde si unique et si fascinant que nous vous proposons de découvrir au travers des portraits de deux maîtres du tatouage et de leurs élèves. Nous les observerons dans leur art, pour mieux montrer la correspondance si étroite entre culture traditionnelle japonaise et univers du tatouage. Pour ce faire, nous irons au rythme des couleurs et des différentes saisons. Dans ce documentaire, vous entrerez dans un univers fait de traditions, de secrets et de spiritualité. | |
"La main tendue": dans la cour Visconti, le Musée du Louvre a confié aux architectes Rudy Ricciotti et Mario Bellini, la construction d'un nouveau bâtiment, ouvert en 2012 pour abriter le département des arts de l'islam. Une architecture comme "une main tendue" entre les arts de l'Occident et ceux de l'islam. S'y côtoient des collections d'objets et des décors d'architecture qui témoignent de la diversité des civilisations islamiques. En résonance avec ces collections, le film nous emmène à Agra, Istanbul, au Caire et à Cordoue sur les traces de dynasties anciennes et d'empires lointains, et documente la richesse et la part de rêve que le Louvre offre au public avec cet écrin surmonté d'une "aile de libellule" et ses espaces muséographiques. | |
Antoine Spire s'entretient avec Sabine Barles, urbaniste, chercheuse à l'Institut français d'urbanisme. Elle s'intéresse à l'histoire des techniques urbaines et particulièrement à la théorie des mutations urbaines. Sabine Barles rappelle tout d'abord les débuts de l'urbanisme à la fin du 19ème siècle avec l'organisation de la collecte des ordures et la valorisation des déchets. Elle précise également le rôle nouveau d'agent de nettoyage des corps, des maisons et des rues, qui avait été attribué à l'eau dès le 18ème siècle. Elle explique ce qu'est le métabolisme urbain : comprendre dans son ensemble les interactions entre la ville et l'environnement. Elle étudie précisément les mécanismes d'entrée et de sortie des matières (aliments, combustibles, biens divers, matières premières et déchets). La ville est vue comme un système de flux. Elle aborde enfin les problèmes du bilan écologique de la ville, de l'étalement humain et des transports. Son approche historique et prospective permet de comprendre les enjeux du futur des grandes métropoles, menant à repenser la transformation de la ville. | |
La première partie de l'exposition revient sur la formation de l'artiste : de son entrée en 1900 à la New York School of Art, aux premières oeuvres qui affirment son style personnel au milieu des années 20. Ses peintures y sont confrontées avec celles d'artistes d'horizons divers européens (Degas, Vallotton, Sickert, ...) et américains (Robert Henri, Sloan, Eakins, Horner) avec lesquels il a un temps établi un dialogue. La seconde partie se penche sur l'oeuvre de la "maturité" de Hopper, selon des regroupements chronologiques et thématiques : la déshumanisation des grandes métropoles, la banalité urbaine, l'isolement, l'inquiétude de l'époque, le sensualisme ou encore l'indifférence entre les êtres. | |
Ce documentaire nous emporte dans une grande enquête à la recherche des sources artistiques classiques qui inspirèrent les premières créations des studios Disney. Construit comme un voyage à la Lewis Caroll, mêlant fiction, séquences 3D et 2D, extraits des œuvres cultes de la Walt Disney Company et interviews de spécialistes, ce film hors du commun apporte aussi un éclairage original sur 70 des œuvres présentées à l'exposition. Pour offrir un complément à ce documentaire, le département audiovisuel a retrouvé un film muet de 1916, Snow White de J. Searle DAWLEY (63 mn) qui inspira Walt Disney pour le premier long métrage d'animation de l'histoire du cinéma : Blanche Neige et les Sept Nains. Ce film rare est proposé en bonus au DVD. | |
Une immersion dans l'oeuvre monumentale d'Anselm Kiefer, l'un des artistes les plus signifiants de sa génération. Quittant l'Allemagne en 1993, Kiefer s'installe à Barjac dans le sud de la France. Il construit La Ribotte, un atelier-colline où la "création-destruction" s'expose sur plus de 35 hectares. Un village étrange et tentaculaire, lieu d'accumulation qui nous plonge dans un gigantesque labyrinthe de peintures et de sculptures faites de plomb, de béton, de cendres, d'acide, de terre, de verre et d'or... | |
"L’école de Nice n’existe pas !" Sitôt débarqué de l’aéroport, pratiquement tout le monde n’eut cesse de me répéter cette phrase, comme un mantra. Alors, soit ! L’école de Nice n’existe pas. Et la Côte d’Azur alors, existe-t-elle ? Un mouvement fantôme et un territoire fantasmé, voilà peut-être le point de départ d’un film autour d’une des plus riches aventures picturales de ce demi-siècle. A partir des artistes d’aujourd’hui, Nice, l’atelier perpétuel dresse le portrait d’un carrefour étonnant où continue de se jouer la création contemporaine. Nice, l’atelier perpétuel raconte comment la Côté d’Azur a été façonnée par ceux qui l’ont côtoyée depuis plus d’un siècle, touristes, mais surtout artistes. Du territoire où s’est inventé l’art moderne – celui de Matisse et Picasso- aux jeunes artistes contemporains, le film ne croise rien moins qu’Arman, Klein, Ben, Viallat, Raysse, Dolla, Pagès et d’autres, soit une bonne partie de ce qui garnit les murs des plus grands musées du monde. En revenant sur plusieurs mouvements disparates et concurrents qui se sont succédés, et qui ont tous concouru à façonner ce que l’on appelle l’Ecole de Nice, le documentaire montre à quel point l’écho d’une transmission artistique se fait encore sentir. | |
Le château de Maisons-Laffitte surplombe la Seine par un jardin à la française en pente douce. Il est composé d’un corps central flanqué de deux ailes. Une apparence symétrique que nous croyons connaître : l’hôtel de ville de Paris où les mairies d’arrondissement de la capitale sont bâties sur le même modèle. Sa postérité en a banalisé l’image. Pourtant Maisons a été une révolution dans l’architecture du château français. Il est le chef d’œuvre d’un architecte de génie, François Mansart. Un prototype qui permet une magnifique leçon d’architecture... | |
Ce film suit Sylvie GUILLEM dans sa course effrénée autour du globe et dévoile la vie quotidienne de cette danseuse hors du commun. Nous l'avons captée comme elle est et c'est là où réside sa grandeur. | |
David Hammer’s documentary short, which was produced in conjunction with an exhibition at the National Gallery of Art in Washington, D.C., offers an overview on the life and career of George Bellows (1882-1925). The Ohio-raised Bellows arrived in New York City at the beginning of the 20th century and witnessed an extraordinary wave of socioeconomic upheavals that he brilliantly captured in his paintings. The polite art establishment was initially shocked at his raw portrayals of street urchins and tenement dwellers, but Bellows quickly became hailed as a chronicler of the city’s grittier environments. Bellows also took sharp observatory skills to Maine, where he painted the working classes who labored along the stunning coastline of Monhegan Island. | |
Les grandes oeuvres d'art, les grands artistes : en 1 minute 15, l'essentiel pour comprendre et mieux regarder une tableau ou une sculpture célèbre. Intelligent avec de l'humour, ces émissions plaisent à toute la famille. | |
Kaguyhime, The Moon Princess, musique composée par Maki Ishii - Chorégraphie de Jiri Kylian - Réalisation et Lumières Michael Simon. Kaguya-hime, est un personnage d'un conte folklorique japonais datant du Xe siècle, appelé également Taketori monogatari ou Kaguya-hime no monogatari. Ce conte est considéré comme le texte narratif japonais le plus ancien. Le texte, en prose, est écrit entièrement en kana, dans une langue très simple et il est en réalité composé de sept contes. Ce récit serait attribué à dame Murasaki Shikibu et aurait été rédigé entre 850 et 950. Cette ancienne légende est également illustrée dans un emakimono par Kose Omi et calligraphiée par Ki no Tsurayuki. Il raconte la vie d'une fille mystérieuse appelée Kaguya-hime qui est découverte, bébé, dans la coupe d'une plante de bambou luisante. Elle dit venir de Tsuki no Miyako ("la capitale de la lune") et a des cheveux étranges "brillants comme l'or". | |
Pippo Delbono est un poète en colère qui hurle sa vision du monde, sa rage et son indignation. Il se dévoile au cours des répétitions de Dopo La Battaglia et témoigne, à travers ses créations, d’un univers où gravitent politique, marginalité, folie et maladie. Entre l’Italie et la France, il revient sur les rencontres fondamentales ayant émaillé son parcours, à l’instar de Pina Bausch ou de L’Odin Teatret qui l’ont ouvert au langage du corps. Ses mises en scène mêlent poésie et tragédie en repoussant les frontières du théâtre occidental. Ce film esquisse le portrait d’un artiste qui explore l’obscurité du monde pour aller à la rencontre de l’autre. | |
Aujourd'hui, une oeuvre d'art n'est plus seulement l'expression de la Beauté, conçue pour être vue et donner du plaisir , à cause de l'investissement financier massif et souvent démesuré dont elle est devenue l'objet, elle est tenue au secret, protégée... cachée. La valeur, parfois vertigineuse, des oeuvres rend de fait leur sécurité difficile à organiser et financer. Une atmosphère de secret règne lourdement sur les lieux, les moyens de conservation et de déplacement. Marianne Lamour réalise un documentaire à la façon d'une enquête policière, en suivant les pas d'un enquêteur et révèle toute la complexité des circuits souterrains qui entourent les oeuvres avant qu'elles ne puissent être exposées au regard du public. | |
L'artiste belge Wim Delvoye a acquis depuis quelques années une réputation internationale, grâce à des créations qui allient surréalisme, fantaisie et provocation. La dernière en date s'appelle Turbo Cloaca, une technologie extrêmement sophistiquée qui n'a pour d'autre but que de produire des excréments...et beaucoup de question. | |
Antoni Gaudí (1852-1926) domine la création architecturale contemporaine par son originalité et sa puissance créatrice. Le film retrace son histoire personnelle et artistique grâce aux plus grands spécialistes de son œuvre et nous fait découvrir les lieux qui ont marqué son parcours : Reus, Montserrat, la Colonia Güell et Barcelone. Le film nous plonge aussi dans la dimension spirituelle de l’architecte. La Sagrada Familia, symbole de la puissance mystique de Gaudí, est son plus célèbre chef d’œuvre | |
En 2008, Pina Bausch, quelques mois avant sa mort, décide de reprendre son fameux spectacle Kontakthof, non plus avec sa troupe, mais avec des adolescents de 14 à 18 ans qui ne sont jamais montés sur scène et n'ont jamais dansé. Ce documentaire est leur histoire... | |
Quelle place notre environnement urbain laisse-t-il à notre imagination, à nos émotions, à notre humanité ? Cette réflexion est au coeur de la démarche de Georges Descombes. D'un chemin forestier de la Voie Suisse au réaménagement, près d'Amsterdam, d'une zone sinistrée par le crash d'un avion, les réalisations de cet architecte du paysage posent la question de la juste intervention. Georges Descombes et quelques-uns de ses compagnons de route, comme l'architecte néerlandais Herman Hertzberger et le paysagiste français Michel Corajoud, parlent de leur travail et lancent un regard acéré sur une architecture actuelle trop éloignée de la vie. Voyage poétique et philosophique, ce film s'adresse à tous les publics. | |
C'est au Clos Lucé, sur les bords de la Loire, où s'est concentrée la plus généreuse expression du génie des hommes de cette époque, qu'est venu s'installer, pour y travailler, penser et imaginer, Léonard de Vinci, peintre, sculpteur ingénieur, urbaniste, biologiste, naturaliste et philosophe, l'ami de François 1 er , son hôte et mécène. En mourant ici, il a légué à la France un héritage spirituel immense et l'espace qui lui est consacré guide les pas des visiteurs dans l'émerveillement d'une rencontre expliquée, celle de l'une des plus complètes intelligences de notre histoire. C'est au voyage à travers l'esprit du plus lumineux des acteurs de la Renaissance que convie ce film. Mêlant habilement séquences fictionnées redonnant vie au génie italien et entretiens avec Jean Saint-Bris propriétaire du Clos Lucé malheureusement disparu, ce film conduit le spectateur à la rencontre de l'Universalité. | |
Le Château d'Oricourt est le château fort le mieux conservé de Franche-Comté et afin de le demeurer il fait l'objet depuis 30 ans de travaux de restauration. C'est ainsi que la tour et le pigeonnier ont pu être sauvés. Avec 6.000 visiteurs par an, il est l'un des monuments les plus visités de la Haute-Saône. Un succès qui est le fruit d'un travail acharné de Jean-Pierre Cornevaux dont la famille a acheté les lieux… et les ruines en 1932. Depuis toujours ce châtelain veut tout faire pour conserver l'authenticité des lieux. Il a réussi à communiquer sa passion à son épouse et à ses enfants. Ensemble, ils se battent chaque jour pour que survive cet espace de jeu extraordinaire, propice au rêve. Et, afin de partager leur enchantement avec d'autres, ils accueillent une fois par an des concerts, des spectacles, des opéras. | |
Cities as never seen before, urban culture at its best and most surprising aspects A 26 minutes series to discover cities, through their urban culture. Street golf in Paris ? Roof gardening in Barcelona ? Party Tram in Berlin ? Unknow people, places and activities seen from the point of view of 2 directors- All though never seen talking to the camera (to ensure the international aspect of the series), they will guide us in this amazing discovery of today’s urban culture. Street’o’sphere is an unusual kind of city-guide. Our guides will make the audience discover the vivid urban culture of big cities. Our main characters willk be the main players of this urban culture and we will discover that there are as many urban cultures as big cities and each of them has its own playground. | |
Cities as never seen before, urban culture at its best and most surprising aspects A 26 minutes series to discover cities, through their urban culture. Street golf in Paris ? Roof gardening in Barcelona ? Party Tram in Berlin ? Unknow people, places and activities seen from the point of view of 2 directors- All though never seen talking to the camera (to ensure the international aspect of the series), they will guide us in this amazing discovery of today’s urban culture. Street’o’sphere is an unusual kind of city-guide. Our guides will make the audience discover the vivid urban culture of big cities. Our main characters willk be the main players of this urban culture and we will discover that there are as many urban cultures as big cities and each of them has its own playground. | |
Cities as never seen before, urban culture at its best and most surprising aspects A 26 minutes series to discover cities, through their urban culture. Street golf in Paris ? Roof gardening in Barcelona ? Party Tram in Berlin ? Unknow people, places and activities seen from the point of view of 2 directors- All though never seen talking to the camera (to ensure the international aspect of the series), they will guide us in this amazing discovery of today’s urban culture. Street’o’sphere is an unusual kind of city-guide. Our guides will make the audience discover the vivid urban culture of big cities. Our main characters willk be the main players of this urban culture and we will discover that there are as many urban cultures as big cities and each of them has its own playground. | |
Cities as never seen before, urban culture at its best and most surprising aspects A 26 minutes series to discover cities, through their urban culture. Street golf in Paris ? Roof gardening in Barcelona ? Party Tram in Berlin ? Unknow people, places and activities seen from the point of view of 2 directors- All though never seen talking to the camera (to ensure the international aspect of the series), they will guide us in this amazing discovery of today’s urban culture. Street’o’sphere is an unusual kind of city-guide. Our guides will make the audience discover the vivid urban culture of big cities. Our main characters willk be the main players of this urban culture and we will discover that there are as many urban cultures as big cities and each of them has its own playground. | |
First released in 1977, the digital remaster is an illuminating portrait of Mark di Suvero - one of the most important sculptors of the Twentieth Century. With original score by Phillip Glass. | |
Max Ernst Hanging movie was released Mar 29, 2011 by the Microcinema studio. In this revealing documentary, patron, collector, and curator Dominique de Menil hangs the 1973 exhibition "Inside the Sight," in conversation with Max Ernst, the 20th-century Surrealist artist. Max Ernst Hanging movie From installation to opening party, the events that transpire, as captured by filmmakers John and Francois de Menil, provide a rare and intimate glimpse into the process of making an exhibition. | |
Dedicated in 1971, the Rothko Chapel was built by John and Dominique de Menil as a quiet spiritual sanctuary for people of all beliefs and faiths, and as a center for championing social justice and human rights. At the inauguration, Dominique de Menil said that the chapel "is rooted in the growing awareness that love and the search for truth are unifying principles. It is rooted in the growing hope that communities who worship God should find in their common aspiration the possibility of dialogue with one another in a spirit of respect and love." The building, originally designed by Philip Johnson and carried out by architects Howard Barnstone and Eugene Aubry, holds a suite of 14 paintings by American Abstract Expressionist Mark Rothko. An artist that de Menils considered the greatest of the time, he wanted to express the most essential human emotions with his work, from tragedy to ecstasy. Deep and dark with subtle surface variation, the paintings are installed to create an immersive environment that reflects on the transformative power of art and its impact on humanity. | |
Narrated by Ed Harris. Joan Miro was torn between a passionate loyalty to his native Catalonia and a desire to escape into a world of pure creativity. The film considers the impact of the horrors of the twentieth century on Miro's career. | |
Une collection de 5 films réalisés par Juliette Garcias et Stan Neumann Les chefs-d'oeuvre du Louvre sont des survivants ! Pendant de longs siècles, ils ont réussi à échapper aux pillages, aux incendies, aux vers à bois, aux dégradations des pigments, aux changements de goût, aux repeints, aux restaurations brutales, aux mutilations à la scie, aux attentats, au vieillissement, à l'oubli. Certains ont vécu dans la clandestinité, sous de fausses identités, d'autres, que l'on croyait perdus, réapparaissent subitement, des siècles plus tard. A l' initiative du musée du Louvre, les plus grands spécialistes mondiaux de Rembrandt, Léonard de Vinci, Watteau, Raphaël et Poussin se sont réunis pour redécouvrir et étudier les oeuvres de ces maîtres, décrochées des murs et décadrées. Une situation exceptionnelle, même pour ces experts. Une enquête collective où chacun va tenter d'élucider l'énigme de l'oeuvre. Une rencontre unique entre les hommes et les oeuvres. | |
Dans cet épisode consacré à Antoine Watteau, Juliette Garcias et Stan Neumann nous invitent à partager les questionnements des scientifiques autour de deux oeuvres majeures, le "Pierrot" et "L'Embarquement à Cythère", sans oublier de magnifiques petits tableaux comme "Les Deux Cousines". | |
A la fin du siècle dernier, Bruxelles devint, le temps d'une décennie, la capitale de l'architecture moderne...Le Mouvement de l'Art Nouveau, rompant aussi bien avec la tradition académique qu'avec le goût néo-gothique, jeta les bases d'une nouvelle conception de l'architecture et du rôle de l'architecte. Victor Horta fut le grand maître de ce mouvement. De toutes ses oeuvres, l'hôtel particulier qu'il a construit pour le baron Van Eetvelde est celle qui affiche le plus résolument sa modernité. | |
Jusqu'en 1914, l'usine Menier, à Noisiel, fut la plus grande chocolaterie du monde et surtout une construction pionnière en matière d'architecture. Jusqu'en 1914, l'usine Menier, à Noisiel, fut la plus grande chocolaterie du monde et surtout une construction pionnière en matière d'architecture. Ses trois bâtiments majeurs, le moulin Saulnier, premier édifice à charpente entièrement métallique, la halle Eiffel et la Cathédrale, racontent à leur manière l'âge d'or des bâtiments industriels. | |
La Sainte Anne est un des plus beaux tableaux du monde, un des plus mystérieux. Mais c'était aussi un tableau malade, défiguré, voire menacé, par les "réparations", et les couches de vernis successives déposées au fil des siècles. Pour le sauver une restauration s'imposait. Une intervention spectaculaire qui s'est étalée sur plus de trois ans, un chantier comme il en existe un par siècle. Cette opération complexe et exceptionnelle a été l'occasion unique d'être au plus près du tableau tel qu'il a été peint à l'origine, et de mieux comprendre la relation complexe que Léonard de Vinci entretenait avec un de ses plus grands chefs-d'oeuvre. | |
Chaque photographie est une énigme. Un instant enfermé dans un rectangle. Nous ne saurons jamais ce qui s'est passé juste avant, juste à côté. Qu'est-ce qu'il a fallu bouger, ajuster, attendre ou provoquer pour que subitement tous les éléments coïncident dans le cadre et produisent une de ces images qui, une fois vues, ne se laissent plus jamais oublier ? Les films de la collection PHOTO se propose d'interroger les photographies pour essayer de retrouver ses histoires perdues et le secret de leur fabrication... | |
Associé au Louvre, le musée des Beaux Arts de Lyon a acquis en 2008 "La fuite en Égypte" de Nicolas Poussin, pour 17 millions d’euros, au terme d’une histoire tourmentée. Ce film met en lumière un pan de la vie des œuvres souvent tenu secret : la question de la propriété, de l’authentification et du prix. Plaintes, poursuites, procès font désormais partie du quotidien des chefs-d’œuvre et de ceux qui en ont la charge. | |
MUVART (Mouvement d Art Contemporain du Mozambique), est une association de 11 jeunes artistes contemporains, pour l essentiel professeurs à l Ecole Nationale des Arts Visuels du Mozambique, qui au travers de leurs oeuvres et actions, représentent une rupture avec les formes traditionnelles abordant les arts plastiques. Ils proposent en effet de nouvelles esthétiques qui, parfois, sont le résultat de l utilisation de nouvelles techniques et supports, comme par exemple, les matériaux recyclés. Ce mouvement sert d incitation et de promotion aux créateurs mozambicains, sur la scène nationale comme sur la scène internationale, non pas à titre de miroir d une Afrique congelée à l intérieur de ses traditions mais comme témoin du monde d aujourd hui défini à partir de ses richesses humaines, singulières et contemporaines. Certains membres de MUVART ont été invités à participer à la Foire d Art Contemporain de Lisbonne en novembre 2004. Les préparatifs de cette foire ont été à l origine de la réalisation de ce film. Accompagner la préparation des uvres pour l exposition nous permet de découvrir l intimité et le quotidien des personnages, et à travers leur point de vue, de porter un regard sur l état de l art et de l identité culturelle mozambicaine dans une société et une ville qui se trouvent en constante mutation, croissance et développement. | |
Arrivé pour la première fois de sa vie en 1926 sur le site de Saqqara (Egypte), Jean-Philippe Lauer, architecte-archéologue, continue, soixante-dix ans après, d’arpenter, d’explorer, de scruter, de comprendre et d’analyser la pyramide du pharaon Djoser, première construction de pierre connue dans l’histoire de l’architecture mondiale, et premier tombeau pharaonique en forme de pyramide (vers 2700 av. J.-C.). Ce film est un portrait sensible et chaleureux qui échappe aux pesanteurs des entretiens traditionnels. Son témoignage offre un tableau vivant de l’égyptologie. Il a été tourné essentiellement en Egypte sur le site de Saqqara et comprend de nombreuses images d’archives. | |
Béatrice Massin, spécialiste de la danse baroque, nous propose un voyage chorégraphique et musical dans le monde de Louis XIV. Construit à partir du spectacle La Belle Dame, ce DVD est un véritable guide animé pour découvrir les chorégraphies de l'époque. 11 chapitres thématiques éclairent les spécificités de chacune des danses avec de multiples exemples et l'appui de partitions chorégraphiques. Il donne de nombreuses clés pour comprendre la place de la danse dans son contexte historique, culturel et politique. Cet outil artistique et didactique, pensé de façon ludique, s'adresse à tous, curieux, mélomanes ou amateurs de danse. | |
En 1928, Vassili Kandinsky crée au Bauhaus un extraordinaire spectacle sur une des œuvres les plus connues de Moussorgsky : les Tableaux d'une Exposition. Basés sur des formes géométriques, des couleurs, des lignes et des lumières colorées, les tableaux se succèdent au rythme de la partition, un ensemble considéré aujourd'hui comme un chef-d’œuvre de l'Art Total. Ce spectacle revit enfin grâce à un film d'animation conçu par Mikhaïl Rudy, à partir des indications scéniques et des aquarelles préparatoires de Kandinsky conservées au Centre Pompidou. Le célèbre pianiste - qui interprète ici une de ses œuvres fétiches - nous permet ainsi de vivre une formidable expérience, au carrefour de la musique et de la peinture. Présenté en concert pour la première fois à la Cité de la Musique en 2010, le film accompagné de l'interprétation live de Mikhaïl Rudy, est dorénavant projeté dans de nombreux pays. | |
Dans ce film exceptionnel, Denis Sneguirev nous fait partager la grande aventure qu’a représenté le sauvetage d’un théâtre mythique : le Théâtre Bolchoï de Moscou. Mélangeant images en 3D, animation, images réelles et entretiens, le réalisateur fait revivre le Bolchoï de ses origines à nos jours. Grâce à des archives inédites, nous remontons le temps jusqu’à l’époque où les stars du Bolchoï s’appelaient Ulanova, Maximova, Plissetskaïa, Vassiliev ou Grigorovitch. Nous suivons les équipes qui pendant cinq ans ont travaillé jour et nuit à la reconstruction de l’édifice. Architectes, ingénieurs, ouvriers de tous les corps de métier sont mobilisés par une aventure colossale que les médias russes ont appelé "le chantier du siècle". | |
À partir du constat de la disparition d'une usine à gaz à Gennevilliers, en banlieue parisienne, ce film propose d'ouvrir une réflexion sur la disparition de la mémoire : celle de l'immigration et des populations "laborieuses" entre autres. Il veut souligner la responsabilité politique des pouvoirs publics dans la construction d'une mémoire collective qui élimine de son histoire le souvenir des populations précaires et de leur travail. Puis, la pensée glisse, s'emporte et propose, comme un sursaut de vie sauvage, une émergence nécessaire et régénératrice, considérer cet état de friche comme métaphore possible de la société contemporaine, comme marque de son abandon social et politique et pourtant le lieu aussi du désir. | |
Jacques Martin est l’un de ces pionniers qui, au sortir de la dernière guerre, a su faire rêver... Il était le dernier survivant de cette lignée de dessinateurs qui faisaient partie de l’École de la Ligne Claire créée par Hergé, son maître et ami. Aujourd’hui presque aveugle, le père d’Alix, de Lefranc et de Jehn n’a pourtant pas encore l’intention de poser le crayon : transmettre son héritage artistique à de jeunes illustrateurs et scénaristes est l’une des choses qui l’anime par-dessus tout. À travers la vie et l’œuvre de Jacques Martin, c’est une partie de l’histoire de la BD moderne que nous découvrons dans ce film. | |
Entretien avec Michel Ragon... Karel Appel, célèbre peintre néerlandais cofondateur du mouvement CoBrA, est ici filmé à la galerie Lelong, a` Paris... Après avoir fait des études à Amsterdam, il commence à exposer en 1946 et tire ses influences de Pablo Picasso, Henri Matisse et Jean Dubuffet... | |
Pol Bury est filmé dans sa maison et son atelier de la vallée de la Taupe, il évoque son parcours. Illustré d'œuvres de toutes les périodes - Pol Bury N°2 "Naissance d'une fontaine" 22' La fabrication complète d'une sculpture-fontaine depuis les premiers croquis, la maquette jusqu'à la mise en eau. Il s'agissait d'une commande pour le Japon. | |
Entretien de Robert Doisneau avec René Deroudille, filmé chez Robert Doisneau à Montrouge, réalisation Alain Vollerin. | |
La critique a placé Berenice Abbott en tête de son domaine. Elle fut une des plus grandes photographes du XXème siècle. Depuis ses portraits des acteurs de l'Avant-Garde dans le Paris des années 20, sa photographie du New York des années 30, ses clichés scientifiques des années 50, jusqu'à son étude de l'Amérique des petites villes, le génie d'Abbott couvre un champ extraordinairement vaste. Filmée au cours de ses 91ème et 92ème années, Abbott nous fait parcourir ce que fut son siècle. Ce parcours nous enseigne l'histoire, la persévérance, le courage et l'engagement singulier qui fut le sien. | |
Le documentaire culte de Terry Zwigoff et présenté par David Lynch. L'amitié et la proximité tangible de Zwigoff face à Crumb lui permettent de décortiquer les influences culturelles et les déchirures familiales profondes du dessinateur : un portrait étonnant et passionnant, provocateur, souvent drôle et parfois dérangeant. |
Arc.jpg)
Arc.jpg)
Cha.jpg)
Des.jpg)
Gar.jpg)
Del.jpg)
Ori.jpg)
MalVol6.jpg)
MalVol2.jpg)
MalVol5.jpg)
MalVol1.jpg)
.jpg)
Arc.jpg)
Arc.jpg)
Nha.jpg)
Lau.jpg)
Bol.jpg)
Par.jpg)
