Le studio d’animation aaa (créé par Jacques ROUXEL, le papa des Shadoks) présente dans ce DVD un florilège de ses meilleurs courts-métrages : un peu plus de 30 ans de création ... | |
En dehors de tout classement géographique ou chronologique, la collection Arts du mythe présente dans ce coffret 22 films. 22 œuvres majeures d'Afrique, des Amériques, d'Océanie, d'Asie et d'Europe. Chaque objet, en livrant les clés de sa création, de ses usages, de son histoire, ainsi que les enjeux artistiques traditionnels et contemporains qui l'animent, révèle l'imaginaire d'un peuple, sa vision du monde. Objet de curiosités, longtemps dédaignés, puis considérés comme de simples documents ethnographiques, ces œuvres dites "primitives" sont enfin élevées au rang de véritables objets d'art. | |
De tous les empires que l’histoire a compté, l’Empire inca n’est sans doute pas celui que l’on imagine comme l’un des plus importants et des plus flamboyants. L’Empire romain, celui d’Alexandre ou encore de Napoléon ferait sans doute davantage référence. C’est la raison pour laquelle aujourd’hui, la Pinacothèque veut, dans le cadre de ses grandes expositions "civilisation", apporter un regard nouveau sur ce qui fut probablement le plus grand empire de tous les temps, ayant conçu un rapport au divin et au cosmos qu’aucun autre n’avait eu et n’aura jamais plus. Retrouvez dans ce DVD l'exposition de La Pinacothèque de 2010, avec les trésors inédits des plus brillantes civilisations précolombiennes. A travers deux cent cinquante-trois œuvres présentées pour la première fois en France émanant des plus prestigieux musées péruviens, il s’agit de découvrir ces cultures andines millénaires et d’explorer leur mystérieuse relation avec l’or. | |
Rencontre intimiste avec le sculpteur français Louis Derbré qui nous raconte son parcours et les pistes qui l'ont conduit à la création de sa dernière oeuvre, le Prophète. Ce documentaire retrace la genèse du bronze monumental Le prophète, depuis sa conception jusqu'à son inauguration à Alençon le 8 septembre 2001. | |
Louise Bourgeois se consacre à la sculpture depuis 1949. Elle a côtoyé les principaux mouvements artistiques, tout en préservant farouchement son indépendance d'esprit, et sa manière incroyablement inventive et troublante. En 1982, elle devient la première femme à être honorée d'une rétrospective au MoMA, à New York. L'artiste lève le voile sur ses secrets d'enfance, source de ses traumatismes, qui se reflètent dans ses sculptures et ses installations, dont la caméra explore la troublante magie... | |
6 millions de logements construits en France de 1953 à 1973 selon les normes d’un habitat de masse où convergent rêves et contingences économiques, pour répondre au mal logement qui gangrène les 30 glorieuses. Dès les années 60, la critique des grands ensembles s’amorce. Un homme en renouvelle le visage : Émile Aillaud. Ses cités emblématiques — sans tours, ni barres — loin de l’architecture sanitaire comme il la qualifiait avec l'audace d'assumer sa vision poétique du logement social, ne cessent de confirmer l'insubordination de cet architecte solitaire. Quels cheminements l’ont conduit à cette écriture architecturale singulière ? Sa parole s’articule avec celles des habitants des Courtillières de Pantin et de La Grande Borne de Grigny. Deux cités en cours de transformation. Des interventions de Paul Chemetov, Djamel Klouche, Stéphanie Gaucher, Gabriel Sibille architectes et urbanistes, de Patrick Kamoun historien du logement social et d'Éva Lukasiewicz plasticienne éclairent l’œuvre, les exigences et les contraintes auxquelles É. Aillaud dû répondre. | |
La clé de son succès ? Un concept génial : "Maximizing Britishness" ou comment bâtir un style et un empire sur la culture populaire anglaise avec un génie marketing et une fantaisie hors du commun. Qui est Paul Smith ? Comment a-t-il réussi à intéresser des millions d'hommes à la mode ? Comment le petit gars modeste de Nottingham est-il devenu la référence de l'élégance masculine dans le monde ?... | |
Jean Rouch est confronté à une succession d’objets qu’il commente sur le vif selon son inspiration. Un drapeau du Niger, une boîte de Banania, un Nagra, un pantalon, des photos de tournage (entre autres) lui donnent l’occasion de parler d’Afrique, d’Hergé, de la Nouvelle Vague, d’Henri Langlois, de Jean Genet, et autres habitants de son musée imaginaire... Un inventaire insolite qui livre un portrait en forme de puzzle de Jean Rouch, cinéaste et ethnologue, mort accidentellement en février 1994. | |
En Iran, être femme est un combat au quotidien. Etre peintre aussi. A travers cette "situation extrême", ce combat peut devenir la raison même de la création artistique... | |
Etienne-Jules Marey (Beaune 1830 - Paris 1904), physiologiste et médecin, a consacré sa vie à l’étude du mouvement humain et animal. Pour mener à bien ses recherches, il a utilisé deux techniques : d'une part la "méthode graphique" et d'autre part la "chronophotographie", qui pose les bases techniques de la future cinématographie. La caméra révolutionnaire que Marey invente en 1888 lui permet de réaliser, durant l'été 1889, les premiers films de l'histoire du cinéma. Avec son assistant Georges Demenÿ, Marey étudie ainsi des phénomènes très précis, dans le cadre de recherches scientifiques spécifiques : la marche de l'homme, l'économie des forces musculaires, le vol de l'oiseau, la locomotion du cheval... etc. | |
Le film de Gilles Coudert nous fait découvrir le processus d’élaboration et de fabrication de Seconde Nature. Miguel Chevalier et Charles Bové nous racontent comment ils l’ont conçu ensemble et nous en donnent les enjeux. | |
La réalisatrice Tamra Davis a rencontré Jean-Michel Basquiat en 1983. De leur rencontre est né un entretien dont les images sont inédites, la réalisatrice les ayant mises de côté à la mort de l'artiste. Elle les ressort aujourd'hui dans ce documentaire exceptionnel qui retrace le parcours de l'un des plus grands artistes du XXème siècle... | |
De l’utopie à la révolte est un coffret DVD de 2 documentaires de Raoul Sangla sur une histoire de la télévision française de ses débuts jusqu’à la grève de mai 68 à l’ORTF. Dans ce coffret 2 DVD + livret, Raoul Sangla, célèbre réalisateur à l’ORTF, retrace une histoire de la télévision française de ses débuts jusqu’aux événements de mai 68. Dans "Des Inventeurs de la RTF", il mène l’enquête auprès des pionniers de la rue Cognac-Jay qui inventèrent un nouveau langage, celui de la télévision. Dans "Du Joli mai 68 à l’ORTF" Raoul Sangla retrouve, quarante ans après la révolte de Mai 68, d’anciens grévistes de l’ORTF qui témoignent des luttes contre la censure de l’information du service public. | |
Isidore Odorico est issu d’une famille de mosaïstes de Séquals dans le nord de l’Italie qui a immigré à Rennes à la fin du 19e siècle. Aux mosaïques pour les châteaux ou villas balnéaires comme celles d’Etables-sur-Mer, d’autres débouchés surgissent liés à la construction de bâtiments publics à caractère hygiénique ou sportifs comme les crèches, écoles, piscines, postes, commerces... Isidore Odorico signera aussi la façade de huit étages de la Maison Bleue à Angers. Ce film redonne vie à ce mosaïste de génie. | |
Certains s’amuseront peut-être de voir tel nom écrit en toutes lettres sur ce site, d’autres encore y reviendront à deux fois avant de comprendre qui est Raymond Depardon, vieux photographe français dont la bobine tourne encore, à presque 79 ans. Toujours est-il que découvrir son documentaire Reporters, trente ans quasiment jour pour jour après sa sortie, tient autant du choc émotionnel que du flash instantané. Le quotidien des photographes de l’agence Gamma, au début des années 80. Sans clichés. | |
La Part du Hasard (1984) : La main d’Henri Dimier se laisse guider par une spontanéité créatrice totale. D’où son dialogue avec la feuille de papier, sa conversation avec l’œuvre en train de se faire, le caractère jubilatoire des mouvements vibrionnants de sa main sur le papier. Liberté, fantaisie, hasard sont les trois mots d’ordre d’Henri Dimier… | |
Octavio Paz disait de Léonora Carrington : "Les tableaux de Léonora sont des égnimes : il faut entendre leurs couleurs et danser avec leurs formes sans jamais essayer de les déchiffrer." | |
Les flip-books de Wiebke K. Fölsch (Allemagne) Découvrez avec ce DVD une soixantaine de flipbooks de l’artiste photographe allemande Wiebke K. FÖLSCH. Des flips-books d’artiste très originaux, édités à compte d’auteur. En relief, à colorier, sonores, à voir sous une lumière noire ou érotiques ! Sans parole ni musique, hormis le son caractéristique de l’effeuillage d’un flip book, en Sté... | |
S'il y a un genre d'art qui semble avoir joué un rôle plus important que tout autre, c'est le nu. Pendant au moins 30.000 années, les humains ont représenté la forme nue dans une très grande variété de façons. | |
Passerelle entre l'Orient et l'Occident, Budapest est une ville à l'histoire tourmentée, faite d'invasions et de destructions. Le film entraîne le spectateur sur les traces de Mathias Corbin, dit Le Juste , dont le règne de 1458 à 1490 a permis à la Hongrie de connaître un spectaculaire développement artistique et culturel. Mathias le Juste fera de ses palais de véritables joyaux de la Renaissance. | |
Cognée est né en 1957, il vit à Nantes. De nombreuses expositions de son oeuvre ont été présentées en France et à l'étranger depuis 1982. Il est en 1990 lauréat de la Villa Médicis à Rome. Après ce séjour à Rome, il développe de nouvelles recherches picturales. Il inaugure une nouvelle technique : une peinture à l'encaustique faite de cire d'abeille et de pigments de couleur, disposée au pinceau sur la toile, toile qu'il recouvre ensuite d'un film plastique sur lequel un fer à repasser, chauffant la cire pour la liquéfier, va créer l'enfouissement trouble du sujet dans la matière. Le film plastique lorsqu'il sera décollé laissera à certains endroit des effets d'arrachage. l'image semble alors enfouie sous une surface glacée. L'artiste s'inspire de vues familières et banales puisées dans son environnement géographique ou personnel (architectures, containers, objets, foules...), donnant du monde l'étrangeté d'une image ne se laissant pas atteindre et proposant un espace de pensée particulièrement vertigineux et une vision du monde à reconstruire à partir de la banalité. Il poursuit ainsi une réflexion originale sur la peinture, la question du sujet, du format, des angles de vision, mais également sur la relation entre la peinture et la photographie (c'est à partir de photographies qu'il travaille). | |
Ce DVD contient certains des meilleurs clips de cette époque. Il offre un rare aperçu des stratégies de marketing utilisées pendant le lever du cinéma et de la naissance de la télévision. Ce DVD est une excellente référence visuelle et guide d'étude pour tout amateur historique ou étudiant. Avec ce DVD, vous pouvez voir exactement ce que l'animation était il y a plus de 70 ans - quand chaque image est une oeuvre d'art! Ceci est un must pour tout amateur de l'histoire du cinéma ! | |
Retrouvez une collection unique du Golden Age de l'animation ! De l'annonce classique Lucky Strike à Clever AT&T Promotions, ce DVD contient tous les graphiques générés par ordinateur d'aujourd'hui pouvant faire des effets spéciaux très réalistes. Ces courts métrages publicitaires, cependant, sont tous dessinés à la main par des maîtres artisans d'animation. Image par image, ces artistes travaillé sur ces annonces classiques. Chacun est une oeuvre d'art ! Alors qu'aujourd'hui même les panneaux d'affichage de cigarettes suscitent la controverse, dans les années 1940, il était courant de voir des publicités pour le tabac à la télévision et dans les films. Ce DVD contient certaines des meilleures publicités pour les cigarettes jamais créé pour Lucky Strike. | |
En 1949, la République Populaire de Chine crée le Studio des Films d’Animation de Shangai qui réunit tous les professionnels de l’animation, du dessin, de la bande dessinée, mais aussi des peintres traditionnels. Te Wei, co-fondateur de la structure, la dirigera jusqu’en 1986. Son film "Impression de montagne et d'eau" est une oeuvre majeure de l’animation chinoise. A la fin des années 50, la grande innovation réside dans l’invention et la mise au point -toujours mystérieuse- par Te Wei du lavis animé, puis du lavis découpé, puisées dans la grande tradition millénaire de la calligraphie et de la peinture chinoise, utilisant encre de chine et aquarelle. | |
La broderie d’art passionne une très large population, de tous âges et de toutes conditions, féminine certes, mais aussi masculine. L’un des meilleurs représentants de cet art qui allie le patrimoine et la création est le brodeur quimpérois Pascal Jaouen. Initié à la broderie à 18 ans, autodidacte, il crée en 1995 la première école privée de broderie qui essaimera dans toute la France ainsi qu’à l’étranger : l’Ecole de Broderie d’Art de Quimper. Artisan et artiste, créateur et couturier, passionné de son art et de son métier, il aime par dessus tout promouvoir et enseigner la tradition et la transcender par ses propres créations. | |
Sur la métamorphose des anciens abattoirs de la ville de Calais en Scène nationale, de 2005 à 2007... Le passage d'un lieu de mort à un lieu de vie qui sert de décor aux histoires humaines ou l'expérience inédite de réhabilitation participative... Propos d'écoliers, de visiteurs, d'architectes et autres curieux... | |
La ville de Val de Reuil est une des sept villes nouvelles construites en France dans les années soixante-dix. Alors que les six autres ont été construites dans la périphérie de grandes agglomérations, et notamment en région parisienne, Val de Reuil a été érigée dans une boucle de la Seine, pour former ce qui, à l’époque devait devenir une grande agglomération. Trente ans plus tard, force est de constater que l’ambition des concepteurs n’a pas été couronnée de succès puisque la ville compte moins de 13 000 habitants. | |
Portrait de l'un des architectes les plus novateurs de notre époque. Les bâtiments conçus par Jean Nouvel relèvent d'une "esthétique du miracle" où l'expression de la fonction prime sur la matière. Jean Nouvel expose ses convictions et justifie ses choix. Brigitte Métra, architecte associée à Jean Nouvel, témoigne sur sa manière de travailler et sur le fonctionnement de l'agence. Le montage mêle entretiens et visites de chantiers ou de bâtiments terminés. Jean Nouvel présente et commente dans ce film dix de ses plus grandes réalisations : Centre de Culture et de Congrès à Lucerne, Centre de Congrès Vinci à Tours... | |
Ce documentaire de création à la fois visuel, sonore et musical est un voyage de reconnaissance de la symbolique Romane. Il va nous donner les clés pour comprendre ce langage de pierre destiné à toucher l'esprit, l’âme et le corps du chrétien d'autrefois. Ce documentaire propose un parcours initiatique au cœur des édifices Romans et de leurs symboles en Auvergne pour en découvrir la sagesse profonde et la foisonnante liberté. Un sculpteur, deux écrivains spécialistes de la symbolique Romane et un historien nous feront partager leur savoir, leur connaissance et leur ressenti de ces "livres de pierre". D'ailleurs, ces remarquables chapiteaux et modillons sculptés n'expriment-ils pas des réalités qui répondent toujours aux multiples aspirations spirituelles de l'homme contemporain ? | |
Les décors de ses photos ressemblent à des superproductions hollywoodiennes. Si Annie Leibovitz est la photographe préférée des stars, c'est aussi parce qu'elle sait trouver la mise en scène qui les définit le mieux. Celle de Whoopi Goldberg nue dans une baignoire remplie de lait, symbole d'une femme noire cherchant sa place dans un monde blanc, rendit l'actrice célèbre. Capable de se fondre dans tous les univers, Annie Leibovitz a su détacher son objectif des vedettes et des hommes politiques pour un photoreportage à Sarajevo ou une émouvante chronique familiale. Nul ne sait mieux saisir l'intimité, qu'il s'agisse des Rolling Stones en tournée, de son père malade ou de John Lennon nu enlaçant Yoko Ono, un cliché pris quelques heures avant la mort du chanteur qui servit au magazine Rolling stone de muette épitaphe. Outre un défilé de stars - Kirsten Dunst, Demi Moore, Mikhail Barychnikov, Hillary Clinton, Mick Jagger, Yoko Ono, Patti Smith... -, ses proches racontent et analysent le parcours d'une stakhanoviste speedée qui déclare : "Quelle que soit la direction où je regarde, je suis toujours en train de 'cadrer'." | |
Américains d’origine allemande, les Stein s’installent à Paris au début du XXe siècle : Gertrude, écrivain d’avant-garde, avec son frère Léo, rue de Fleurus ; Michael, l’aîné, avec son épouse Sarah, rue Madame. Premiers acheteurs de Matisse et de Picasso, ils accueillent chez eux toute l’avant-garde artistique et constituent l’une des plus étonnantes collections d’art moderne. Pour la première fois, un film relate l’histoire de cette famille hors norme. Il nous éclaire sur la contribution des Stein en matière d’art moderne : le regard de Léo sur les sources de la modernité ; l’amitié de Gertrude avec Picasso ; les liens de Sarah avec Matisse ; les projets échafaudés par Gertrude dans les années 20 et 30 avec Picasso, Gris, Masson, Picabia… | |
Pour la collection d'art moderne de Solomon Guggenheim, Frank Lloyd Wright envisageait une expérience spatiale qui allait révolutionner la relation entre les gens et l'art. Neil Levine, de renommée mondiale, historien de l'architecture et professeur à l'Université Harvard, nous emmène dans une visite intéressante et personnelle de l'immeuble et de son histoire. La visite est amusante, provocatrice, et vous laisse avec une compréhension claire de la façon dont «Le Guggenheim» a changé à jamais nos hypothèses de ce qu'est un musée d'art peut être. | |
Qui ne pousse pas la porte de ce petit château bourguignon ne peut en deviner le secret. Comte de Bussy, chassé de la Cour par le Roi Soleil, l’érudit libertin, cousin de Madame de Sévigné, vit là son exil. Il décide de reconstituer, chez lui, cette Cour qui lui manque, en recouvrant les murs de portrait des personnalités du moment. Il ne peut s’empêcher de les accompagner de maximes… souvent amères. Voilà le trésor du château de Bussy : l’univers d’un homme d’esprit blessé, unique souverain d’une cour éternelle qui ne vit que pour lui. Le film nous entraîne à la découverte du lieu, du personnage et de l’esprit de la Cour. | |
C'est à Malmaison que Napoléon choisit de se réfugier quelques jours avant de partir pour Sainte Hélène. On l'imagine parcourant les lieux une dernière fois, se souvenir des jours heureux, du temps du Consulat. Il portait alors le nom de Bonaparte. Il avait l'avenir devant lui, et auprès de lui, une femme : Joséphine. Le château de Malmaison est tout empreint de sa personnalité. C'est elle qui l'a choisi, aménagé, décoré. Il lui fut offert, lorsque le couple impérial s'est séparé. C'est le lieu qui a recueilli son dernier souffle. | |
L’œuvre du peintre néerlandais Piet Mondrian (1872-1944) marque un tournant décisif dans l’histoire de la peinture moderne. D’abord influencé par le Cubisme, Mondrian invente au début des années 20 un langage universel à partir de formes géométriques minimales et de couleurs primaires. Avec Kandinsky et Malevitch, il est l’un des pionniers de l’abstraction pure, courant novateur qui a largement influencé l’art du XXe siècle. Tourné dans la réplique exacte de son atelier du 26 rue du Départ à Paris, ce documentaire-fiction réincarne un Mondrian passionné de danse et de jazz et redessine sa trajectoire artistique : des premières œuvres réalistes aux années mystiques, du mouvement de Stijl aux années parisiennes et à son départ pour New York où il meurt en 1944. Ce film captivant retrace le cheminement intellectuel et humain qui a mené Mondrian vers l’abstraction géométrique, ce style si caractéristique qui fait de lui l’une des grandes figures de l’avant-garde artistique internationale. | |
Notations 01 est le premier d'une série de projets audiovisuels qui rassemble diverses techniques et approches d'artistes visuels internationaux. Les travaux se déploient des timbres classiques aux recherches digitales, chacune étant complétée par des remixes aux angles multiples. | |
Né le 7 Novembre 1917, le jour de la révolution russe, Lev Efimovitch Kerbel commence très tôt à créer des sculptures en pierre et en marbre. Après la seconde guerre mondiale, il devient le sculpteur officiel du régime soviétique. Il crée la statue de Karl Marx au centre de Moscou et celles de Lénine et autres œuvres monumentales dispersées sur tous les territoires de l’URSS et des pays "frères". Il reçoit de nombreux prix dont le prix Lénine et le prix Goethe en Allemagne. Il sera l'un des symboles artistiques de l'Empire soviétique et le restera jusqu'à la chute du communisme. Lev Kerbel est décédé à Moscou en Septembre 2003 à l’âge de 86 ans. | |
Ce documentaire évoque le destin de ceux qui ont su pénétrer les secrets des choses les plus simples ; il raconte Albert Demard, à l'origine de la ré-écriture et de l'anthologie des lieux et des hommes, mais aussi son fils, Jean-Christophe Demard, gagné à la contagion du terroir. Il choisit, en fil rouge à cette découverte de l'extraordinaire patrimoine chanitois, tremplin pour l'imagination, le rêve et le merveilleux, le spectacle de l'Homme de la Mancha donné, dans les ruelles de la ville, par l'ensemble lyrique bisontin Justiniana… Il convie ainsi le téléspectateur à "rêver un impossible rêve, partir où personne ne part..." | |
Surprenantes, novatrices, imprégnées à la fois des drames de l'homme et de ses aspirations : quatre siècles plus tard, les peintures du Caravage (1571-1610) ne laissent pas indifférent. Jamais provocateur, sans doute subversif, ce génie de la peinture fut aussi un grand et étonnant mystique. En mettant en scène des gens du peuple et même de la rue, il montre que la foi n'est pas réservée à des saints de vitrail, il atteste que le sacré se montre à travers ce que l'homme a de plus matériel, son corps. Situer les repères d'une histoire et d'une oeuvre, mesurer l'impact qu'il a eu dans la peinture et l'art contemporain, décrypter certains tableaux, esquisser une aventure intérieure... Ce film autour du Caravage est le parcours spirituel d'une oeuvre étonnante et profondément mystique. Avec des critiques d'art, un artiste plasticien, Ernest Pignon-Ernest, et un théologien, le cardinal Poupard, il est aussi une plongée au coeur de ce mouvement religieux et populaire que fut l'art baroque de la Contre-Réforme. | |
Koob's, présente une collection variée de courtes vidéos qui montrent l'inventivité de l'artiste à la fois par le concept et les outils de dessin, et qui dans le cas de Martin inclut les médias plus traditionnels tels que le marqueur à côté d'une tablette de dessin électronique. | |
Trois photographes majeurs, Jan Saudek, Joel-Peter Witkin et Francesca Woodman interrogent nos plus grandes peurs - l'exclusion, la monstruosité, la mort - par leur travail singulier sur le corps humain. L'aventure artistique, aux limites éthiques et physiques de la représentation, engage une réflexion sur le média photographique lui-même et le rapport mystérieux qu'il entretient avec le cinéma. Dans le premier DVD jan Saudek, le photographe tchèque remet en scène pour la caméra de Jérôme de Missolz 10 de ses plus célèbres photos, et Joel Peter Witkin nous présente "L'image indélébile", D'Albuquerque à Budapest en passant par Sao Paulo, portrait en cinéma direct du grand photographe américain. Sur le second DVD, Isabelle, 35 ans, secrétaire médicale dans un hôpital parisien, réalise depuis une quinzaine d année le projet de se faire photographier nue par des grands photographes dont elle aime le travail; suivi d'un portrait fictionné de Franscesca Woodman avec Florence Denou, Lou Castel, Caroline Baehr, Jacky Nercessian : Un essai cinématographique pour cerner le rapport entre la vie intérieure d'une jeune photographe suicidée à 23 ans, et son besoin de représentation singulier. | |
Avec sa médina, ses nombreuses mosquées et autres “zaouïas” (édifices musulmans), Kairouan est considérée comme la quatrième ville sainte de l'Islam. Les trois documentaires du cinéaste Amor Nagazi présentent les différentes facettes de ce joyau de l’art islamique situé au cœur de la Tunisie, inscrit depuis 1988 sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco. | |
La silhouette du peintre James Ensor hante toujours la digue d'Ostende. Ce personnage inclassable a élaboré entre le 19e et le 20e siècle un art d'avant-garde où couleurs et motifs dévoilent le carnaval du monde. La voix de Jean-Quentin Châtelain portant les textes du peintre, emplis de colère, de drôlerie et de poésie, la musique originale de Marie-Jeanne Séréro, les oeuvres filmées au plus près et la présence de Pierre Alechinsky sont quelques unes des entrées choisies par les réalisateurs pour invoquer les "ensortilèges". | |
Alain Kirili, sculpteur abstrait, partage sa vie entre Paris et New York. Il aime se confronter avec d’autres arts et invite souvent des musiciens jazz, des danseurs ou des poètes dans son atelier, dans un centre d’art ou au musée parmi ses œuvres. Tous les matériaux sont passés entre ses mains : pierre, fer, terre crue, terre cuite, zinc, aluminium, carton, résine, cire, polystyrène, béton… Le film donne à voir et à entendre un artiste au travail, tout en suivant son parcours des origines à ses créations actuelles, sur un mode proche de l’intime. Dans son univers quotidien, en présence de sa compagne Ariane Lopez-Huici, photographe, il partage une vision jubilatoire et complexe de l’abstraction et de l’incarnation. En le filmant avec des amis d’horizons différents, on découvre la conscience qu’il a d’appartenir à un monde d’artistes où chacun tisse les liens qui lui sont nécessaires pour poursuivre son œuvre singulière. | |
Pour s'initier ou se perfectionner en se faisant plaisir, voici deux heures de gestes détaillés, d'explications, de trucs et astuces... pour vous lancer avec confiance dans l'Art du Cartonnage. Une formation complète et rassurante, des techniques simples, rapides et abordables par tous, même par les enfants. Tracer, couper, assembler, consolider, molletonner, mettre en relief, poser une charnière, faire un soufflet... vous allez maîtriser rapidement et facilement la plupart des points techniques du cartonnage. Ce film va vous permettre de vous lancer seule pour "cartonner" en toute liberté ! | |
A New York, Diane von Furstenberg est une institution. C’est la femme la plus puissante de la mode américaine et la plus drôle aussi ! Les américains la connaissent tous et l'appelent comme le logo de sa marque: DVF. Suivre DVF est une épreuve, un marathon. 48 heures avant le défilé, la princesse Diane, d'origine belge, continue à tout gérer : placement stratégique des invités, défilé, sa collection, essais maquillage mais aussi ses responsabilités de patronne et ses indispensables cours de yoga et petits-enfants. Les ateliers peinent à suivre ce tempérament hors du commun, d’autant que la robe portée par DVF à la fin du show demande autant de travail que celles des mannequins ! | |
Après avoir conquis Paris et Londres et habillé tout le monde, de Madonna à Miss Piggy, Jeremy Scott est de retour à New York. Ses créations pop et hystériques vont-elles convaincre la grosse pomme ? Sa petite équipe venue de Los Angeles va-t-elle tenir le coup ? Panique, stress et neige sont au rendez-vous. | |
Le talentueux Peter Copping vient d’être embauché par Nina Ricci pour réorganiser la maison. C’est son premier défilé majeur. Notre créateur anglais arrivera-t-il à prouver au monde entier qu’il peut se glisser dans l’ADN de cette marque mythique ? Les chaussures tiendront-elles le coup jusqu’au moment du défilé ? Suspens, fleurs et talons aiguilles. | |
Pour la toute première fois, Donatella Versace autorise l'accès à son processus de création et à la maison Versace. Des ateliers aux essayages à un passage dans la chambre de son frère défunt Gianni Versace. Un monde de perfection clinquante à l’italienne, géré par une Donatella, mystérieuse et plus fragile que l’on ne croit. Entre les robes de stars, la précision des coupes et la difficulté de faire exister un style flamboyant à l’heure de la crise économique, Donatella a du pain sur la planche. Un aperçu intense de la vie d'une des plus grandes divas de la mode. | |
Bruno Mendonça, joueur de mots, lanceur de boomerangs, souffleur de poèmes et détourneur d’échecs, est souvent présenté comme l’artiste le plus jeune de l’Ecole de Nice, ce mouvement artistique initié par Yves Klein, Martial Raysse, Arman, rejoints par César, et plus tard Ben... Mais quand on le croit ici, Mendonça, voyageur de l’art, s’élance déjà vers d’autres territoires, performances, installations, hyperréalisme, frôlant parfois les frontières de l’Oulipo lorsqu’il fait rendre gorge à la langue, investissant le monde des bibliothèques lorsqu’il s’empare de dictionnaires pour en bâtir son igloo multimédia, confectionnant des alphabets inconnus mis au jour dans les strates de son monde imaginaire. Et tandis que la plupart des artistes tentent de livrer leur lecture du Monde, Bruno Mendonça nous en donne au contraire une malicieuse cryptographie. Entremêlant les séquences documentaires saisies sur le vif tout au long d’une dizaine d’années avec une visite rêvée dans un mystérieux dédale à la rougeur de brique, ce film tente de cerner l’artiste insaisissable. | |
3 films du documentariste Pierre-André Sauvageot sur 3 auteurs de BD reconnus qui vivent et travaillent en France. "Tardi en noir et blanc", "L’oeil de Willem" et "Chantal Montellier, la part d’enfance". | |
Entre 1770 et 1773, après la disparition de sa jeune épouse et de sa fille, Pierre Jaquet-Droz, suisse et pendulier de son état, se constitua une "Petite famille mécanique". Digne successeur du célèbre Vaucanson, il créa avec son fils Henri-Louis et Jean-Frédéric Leschot, des androïdes perfectionnés aux fonctions bien réelles dont la taille, la figure et les mouvements imitaient étroitement la nature. Ce documentaire est un voyage à travers le temps où les créatures les plus extraordinaires se côtoient : automates de Vaucanson, joueur d'échecs du Baron Von Kempelen, têtes parlantes de l'Abbé Mical, magiciens et devins des frères Maillardet. | |
Loin du fixisme de l'antiquité et des divines proportions, l'art numérique explore de nouvelles voies. Les œuvres naissent, vivent, meurent et échappent à leur créateur. ?En perpétuelle transformation, ces œuvres évoluent avec le spectateur qui devient interacteur. ?Quelles sont les alliances et non alliances avec la science ? ?Comment l'art numérique, qui repose sur des algorithmes, interpelle-t-il la science ? Entre confrontations et enrichissements mutuels, qu'apportent ces deux disciplines dans notre perception du monde ? | |
New York, à la fin des années 50, Diane Arbus est l'assistante de son mari, un photographe de mode réputé. Issue d'une riche famille, elle se sent mal à l'aise dans un monde de convenance rigides o? seules les apparences comptent. Un soir, elle remarque des déménageurs livrant des meubles et des objets étranges au-dessus de chez elle. Lorsqu'elle aperçoit son voisin, le mystère s'épaissit encore : enveloppé d'un long manteau, il porte un chapeau et dissimule son visage derrière un masque. Seuls ses yeux sont visibles, et le regard que Diane croise ne fait que la fasciner un peu plus... | |
Ce double DVD présente un ensemble de ressources éducatives en 40 films et 4 diaporamas. Le premier DVD, L'aqueduc romain de Nîmes, retrace l'aventure de la construction de cet ouvrage exceptionnel dont on ne connaît souvent qu'un élément, le Pont du Gard, classé au patrimoine mondial de l'Unesco en 1985. Le second DVD, Un parcours romain, propose un voyage dans la romanité, de Nîmes en Catalogne, en passant par Ambrussum et la villa gallo-romaine de Loupian. | |
Quand Manuel Ier monte sur le trône, en 1495, cela fait à peine un an que l'Espagne et le Portugal ont signé le traité de Tordesilla, qui fixe la ligne de partage du monde entre ces deux Etats. Le règne de Manuel va alors marquer l'apogée du Portugal. D'autant qu'en 1497, Vasco de Gama découvre la route des Indes, une liaison maritime qui va changer à jamais les rapports entre l'Europe et l'Asie. | |
Alain Baraton, jardinier en chef de Versailles, nous fait découvrir le parc de 800 hectares et nous amène hors des chemins touristiques nous faisant ainsi visiter les glacières uniques en Europe. Nous découvrons les travaux effectués par les fontainiers, les jardiniers, les élagueurs, les débardeurs sur le domaine royal au fil des saisons. Ce superbe et bucolique documentaire nous entraîne dans le sillage du Roi Soleil et suggére toute une époque. | |
Au Kérala, en Inde du sud, une tradition de peintures éphémères, pour communiquer avec les dieux, se perpétue de père en fils. M. Kurup se déplace dans les maisons ou dans les temples pour y célébrer des rites propitiatoires, appelés Kalam elluttu pattu, traçant des peintures à même le sol. Il prépare chez lui les poudres colorées qui lui serviront à réaliser ces représentations graphiques, à partir de minéraux et de végétaux broyés : le noir (balles de riz calcinées), le blanc (riz débarrassé de sa glume), le vert (sirisa, sorte d'acacia), le jaune (rhizomes de curcuma) et le rouge (mélange de chaux éteinte et de curcuma). Une famille qui offre chaque année une cérémonie en l'honneur de la déesse-mère, pour la protection et la prospérité de la maison, convie M. Kurup. Après avoir purifié le lieu du Kalam par des prières et des offrandes, il trace la figure de la déesse Bhadrakali terrassant l'asura Darikan. M. Kurup est aidé de son fils à qui il transmet cette tradition (la maîtrise de la science des proportions et des couleurs, ainsi que la liturgie). Tous deux invoquent la divinité en prononçant des mantras et réalisant des mudras (postures rituelles des mains). Puis ils chantent l'origine de la déesse et ses exploits en s'accompagnant d'un instrument à percussion, "l'Iddeka". | |
Sur les pas des premiers découvreurs de Lascaux, cette visite unique et insolite vous fait pénétrer dans la grotte originelle fermée au public depuis plus de 40 ans : une plongée dans une des périodes les plus anciennes de notre histoire. Elle correspond à l'émergence en Europe, il y a un peu plus de 35 000 ans, d'une espèce humaine nouvelle : les Homo sapiens sapiens, les hommes modernes, c'est-à-dire NOUS. Lascaux, un nouveau regard offre une lecture originale, rigoureuse et scientifique, une lecture qui incite à en savoir plus, à laisser libre cours à l'imagination. Quatre questions fondamentales seront régulièrement posées : Que voit-on exactement ? Que sait-on réellement ? Que croit-on voir aussi ? Et, surtout, que croit-on savoir ? | |
"Magia Russica" est un documentaire de Yonathan et Masha Zur consacré à l'animation russe, avec notamment des interviews de grands réalisateurs comme Fyodor Chitruk, Youri Norstein, Edouard Nazarov, Garri Bardine et Alexander Tatarsky. Projeté l'an dernier au festival d'Annecy, il etait jusque là disponible uniquement en DVD import, comme indiqué sur les forums Catsuka. |
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